Les titres boursiers qui ont retenu l'attention cette semaine

Publié le 02/10/2020 à 13:26

Les titres boursiers qui ont retenu l'attention cette semaine

Publié le 02/10/2020 à 13:26

Par lesaffaires.com

(Photo: Getty images)

Quels titres boursiers et rapports d'analystes ont retenu l'attention cette semaine? Voici une revue de presse qui regroupe divers textes boursiers.

 

28 septembre

 

Dans les Titres en action:

 

  • Epic Games, l'éditeur du jeu Fortnite, va tenter lundi de convaincre un juge californien qu'Apple (AAPL, 113,43$US) doit immédiatement remettre ses jeux sur l'App Store, bien que l'éditeur contourne depuis plusieurs semaines les commissions du fabricant de l'iPhone, qu'il juge «tyranniques». Cette audience est une étape dans la bataille judiciaire entre les deux groupes californiens. Le juge devra décider si Apple doit ou non remettre Fortnite sur l'App Store, sans attendre l'issue d'un procès plus large. 
  • Deux anciens banquiers de la Deutsche Bank (DB, 8,49$US) ont été jugés coupables par un juge américain de «pratiques commerciales trompeuses et manipulatrices sur les marchés américains des matières premières», a annoncé le département de la Justice. À l'issue de deux semaines de procès, un juge de Chicago les a reconnus coupables «de fraude pour leurs rôles respectifs dans des pratiques commerciales frauduleuses et manipulatrices impliquant des contrats à terme sur des métaux précieux cotés en Bourse», selon un communiqué de presse.
  • Alphabet (GOOGL, 1457,54$US), la maison-mère de Google, a annoncé vendredi avoir trouvé un accord avec ses actionnaires sur la gestion d'affaires de harcèlement sexuel chez le géant d'internet, avec de nouveaux engagements et règlements, après des mois d'enquête interne et des poursuites contre le conseil d'administration. Selon les termes de cet accord, Google va dépenser 310 millions de dollars pour promouvoir la diversité, l'équité et des politiques plus inclusives.

 

 

À surveiller

 

AGF Management (AGF, 5,85$): le pire est passé. La firme d'investissement torontoise a publié des résultats du troisième trimestre sous les attentes, à la fin de la semaine dernière. Ça n'a pas eu l'heur de faire broncher les analystes, qui voient du positif à l'horizon, estimant qu'AGF a touché le fond, et que les prochains mois seront plus positifs. Pour le troisième trimestre de son exercice 2020, AGF a dévoilé un BAIIA de 17,1 millions $ et un bénéfice par action ajusté de 0,08$.

 

Cascades (CAS, 14,98$): le bon moment pour hausser les prix. Les producteurs de carton pour emballage nord-américains, incluant Cascades, ont annoncé une hausse du prix de ce matériau équivalant à 50$US la tonne à partir du 1er novembre prochain. Ça bouge dans le secteur de la livraison, et cette hausse de prix se justifie dans un marché où on compte un petit nombre de grands joueurs, et où la hausse de la capacité de production prendre un peu plus de temps, observe Frederic Tremblay, analyste pour Valeurs mobilières Desjardins.

 

Costco (COST, 342,58$US): un virage raté qui pourrait coûter cher. Les entrepôts de la chaîne Costco ont plutôt bien survécu à la pandémie. Même avant ça, l'enseigne pouvait profiter de son modèle par abonnement et de l'attrait de l'achat en grosse quantité pour tirer son épingle du jeu face à Amazon et aux détaillants en ligne. Maintenant que ses ventes en ligne prennent de plus en plus de place dans son modèle, il est peut-être temps que Costco adopte une autre nouvelle pratique émergente, dans le magasinage d'après-COVID: les commandes pour emporter.

 

 

29 septembre

 

Dans les Titres en action:

 

  • La banque JPMorgan Chase JPM, 95,50 $US)a accepté mardi de payer 920 millions de dollars pour avoir manipulé les cours sur les marchés des métaux et des bons du Trésor, la plus grosse sanction financière jamais imposée dans une telle affaire. Cet accord permet de solder des poursuites engagées par le ministère de la Justice (DoJ) et les gendarmes américains des marchés boursiers et de matières premières, la SEC et la CFTC, ont indiqué les régulateurs dans des communiqués distincts. 
  • Les produits Beyond Meat (BYND, 168,10 $US) seront maintenant distribués dans 2400 magasins américains de la chaîne Walmart (WMT, 137,77 $US), a annoncé le producteur de sans-viande à base de plante mardi. Ils étaient disponibles dans 800 points de vente jusqu’à tout récemment. C’est dans la section des mets congelés du géant du commerce de détail que Beyond Meat a lancé ses galettes de burger en 2015. Cet été, l’entreprise fondée par Ethan Brown à Los Angeles avait lancé pour un temps limité un format économique de 10 boulettes, afin de les rendre plus accessibles, rappelle Yahoo Finance.
  • L’équipementier télécoms finlandais Nokia (NOKIA, 3,38€) va devenir le principal fournisseur du réseau 5G de l’opérateur BT au Royaume-Uni, ont annoncé les deux groupes mardi, le premier contrat de Nokia dans le pays depuis l’exclusion de Huawei du réseau 5G britannique. Le premier ministre Boris Johnson avait annoncé en juillet qu’il allait bannir du réseau 5G britannique tout équipement produit par le géant chinois Huawei, en raison d’un risque pour la sécurité du pays.

 

 

À surveiller


Drone Delivery Canada (FLT, 0,61$): une percée prometteuse en Afrique. Les affaires tardent à décoller pour le service aéroporté de Vaughan, en Ontario, mais plusieurs ententes seraient sur le point d'être conclues à l'international au fil des prochains mois. D'ailleurs, hier soir après la fermeture des marchés, Drone Delivery Canada a annoncé avoir signé une lettre d'intention pour étudier le marché potentiel au Kenya, en partenariat avec Astral Aerial Solutions, une entreprise locale qui a été rendue possible grâce à la présence d'Air Canada dans le portrait. 

 

Bombardier (BBD.B, 0,36$): l'entente avec Spirit remise en question. L'acheteur anticipé pour les activités d'Aérostructure de Bombardier vient à peine de conclure une transaction de 400M $US quelques jours avant l'échéance fixée au 1er octobre. Cette situation pourrait affecter négativement la transaction anticipée avec Bombardier, puisque Spirit a jusqu'au 31 octobre pour remplir plusieurs conditions qui ne sont toujours pas réglées. Non seulement est-ce que Bombardier pourrait devoir trouver un nouvel acquéreur, mais le prix de vente de 500 millions $US risque d'être revu à la baisse, craint Konark Gupta, analyste pour la Banque Scotia.

 

Palantir (PLTR): une entrée en Bourse de 22 milliards $US. La société californienne spécialisée dans les données informatiques est probablement moins connue du grand public que son cofondateur Peter Thiel, qui est devenu milliardaire en ayant préalablement participé au lancement de PayPal et de Facebook. Mais demain, on soupçonne que bien des gens voudront en savoir plus sur Palantir, puisqu'elle fait son entrée officielle à la Bourse de New York mercredi matin.

 

 

30 septembre

Dans les Titres en action:

 

  • Google (GOOGL, 1 465,60$US) a annoncé mercredi lors d'un événement en ligne le lancement de deux nouveaux modèles de son smartphone Pixel, qui seront compatibles avec la technologie 5G, espérant accroître ses parts de marché dans un secteur où il joue un rôle mineur. Le Pixel 4a 5G, version améliorée du Pixel 4a sorti en début d'année, sera commercialisé à partir de 499 dollars, le 15 octobre, dans neuf pays, dont les États-Unis et la France. Le Pixel 5, plus puissant et plus résistant, débutera lui à la même date et dans les mêmes pays à partir de 699 dollars.
  • La plateforme Ownr, de RBC Projet Entreprise (RY, 93,92$), a fait l’acquisition de la plateforme technologique juridique Founded Technologies, a indiqué mercredi la Banque Royale. Ownr a été fondée en 2017 dans le but de simplifier le processus d’inscription ou de constitution en société, tandis que Founded permet d’automatiser des tâches juridiques complexes. Un porte-parole de la Royale, Corey Black, a indiqué que RBC Projet Entreprise ne dévoilerait pas les détails financiers de la transaction.
  • Le New York Stock Exchange a fixé mardi à 7,25 dollars le prix de référence de l'action de l'entreprise spécialisée dans le traitement de données de masse Palantir (PLTR) pour son entrée à Wall Street mercredi, ce qui valorise la société à 15,8 milliards de dollars. Palantir arrive en Bourse via une cotation directe, une opération qui ne lui permet pas de collecter de l'argent frais mais donne aux actionnaires déjà présents à son capital - les fondateurs, les employés et les investisseurs historiques - la possibilité de vendre leurs participations sur le marché.
  • Twitter (TWTR, 44,75$US) a annoncé mardi qu'une de ses entreprises partenaires, qui assure une veille sur le réseau social afin d'avertir la police de manifestations à venir, ne viole aucune de ses règles en matière de surveillance. Cette entreprise, Dataminr, surveille le flot de tweets publics et envoie des alertes à la police ou aux agences gouvernementales concernant, entre autres, de futures manifestations ou appels à la désobéissance civile, comme ceux liés au mouvement antiraciste Black Lives Matter.
  • Une ONG a publié mardi un rapport accusant Amazon (AMZN, 3 186,61$US) d'avoir dissimulé l'ampleur des accidents du travail dans ses entrepôts américains, mais le géant du commerce en ligne a répondu que l'organisation n'avait pas interprété correctement les chiffres auxquels elle a eu accès. «En 2019, les entrepôts d'Amazon ont comptabilisé 14 000 blessures graves - celles qui nécessitent des jours de repos ou des aménagements au travail», déclare un article de Reveal, du Center for Investigative Reporting, qui dit avoir consulté des rapports internes issus de 150 entrepôts du groupe.

 

 

À surveiller

 

BRP (DOO, 69,39$): le numéro 1 de la satisfaction des clients. La firme américaine Pied Piper a procédé à une étude comparative de la satisfaction des consommateurs face aux nombreuses marques de véhicules utilitaires et de loisir aux États-Unis. Résultat? La marque Can-Am arrive au premier rang, confortablement en avance sur des rivaux nommés Honda, Polaris, Kawasaki et John Deere. C'est la troisième année consécutive que BRP trône au sommet de ce classement, qui témoigne d'une fidélité de la clientèle et d'une réputation qui attire les nouveaux acheteurs.

 

CAE (CAE, 19,32$): y a-t-il un pilote (en formation) dans le simulateur? Le secteur de l'aviation est gravement touché par la Covid-19, avec une baisse de la demande atteignant 90% dans certaines régions. Ça va prendre des années à revenir à un niveau comparable à celui du début 2020, ce qui soulève la question: aura-t-on besoin d'autant de nouveaux pilotes qu'on le croyait? Avant la pandémie, on anticipait une grave pénurie, notamment en Asie, mais maintenant…

 

Shopify (SHOP, TSX: 1368,00$, NYSE: 1025,70$US): les analystes se rallient derrière le titre. Le fournisseur de services transactionnels d'Ottawa a vu son titre bondir tant à Toronto qu'à New York, hier, suite à l'annonce d'un jeu de chaises musicales au sein de sa direction. Le geste vise à rendre la société plus agile suite au départ du directeur des produits, et à cimenter la croissance prise ces derniers mois du côté de la capitalisation et des opérations. Mais ce n'est pas fini: voilà que les analystes qui demeuraient tièdes face à la hausse soutenue de Shopify durant la pandémie voient tout à coup l'avenir avec optimisme.

 

 

1er octobre

 

Dans les Titres en action

 

  • Le géant américain de l’agroalimentaire Pespsico (PEP, 139,40$) a vu ses ventes de boissons aux États-Unis et au Canada repartir de l’avant au troisième trimestre après avoir souffert d’une chute de la demande en raison de la pandémie. Le département Boissons Amérique du Nord a en effet enregistré une hausse de 6 % de ses revenus entre début juin et début septembre, ceux-ci s’établissant à 5,96 milliards de dollars. Au trimestre précédent, le chiffre d’affaires avait baissé de 7 %. 
  • Le titre Bayer (BAYN, 47,64€) dérapait jeudi à la Bourse de Francfort, après l’annonce mercredi soir d’un nouveau plan d’économies et de dépréciations d’actifs en milliards dans l’agrochimie en raison de la pandémie du coronavirus. Cette chute du poids lourd du Dax contribuant à ramener la hausse de l’indice vedette à seulement 0,19 %. Le titre avait plongé jusqu’à 12 % en matinée pour afficher son plus bas de l’année et ramener le cours à son niveau de 2011.
  • Le géant suisse de l’alimentation Nestlé (NESN, 109,84 CHF) va investir quelque 450 millions de dollars dans une nouvelle usine aux États-Unis pour renforcer ses activités de nourriture pour animaux de compagnie, un de ses grands axes de croissance, a-t-il annoncé jeudi. Cette nouvelle usine, basée à Eden en Caroline du Nord, va emménager dans une ancienne brasserie que le groupe, propriétaire notamment de la marque Purina, prévoit de rénover afin d’y installer ses lignes de production, a-t-il indiqué dans un communiqué.

 

 

À surveiller

 

Banque de Montréal (BMO, 77,84$): le marché du crédit inquiète. La haute direction de la BMO a procédé à une rencontre virtuelle avec des analystes, mercredi. C'était l'occasion de parler de l'état des services bancaires au Canada et aux États-Unis, dans un contexte où l'incertitude économique pèse sur les activités financières des particuliers et des entreprises. Dans le cas de BMO, les analystes étaient surtout curieux d'en apprendre davantage sur la situation de l'institution canadienne dans le marché commercial et du côté du crédit.

 

Stingray (RAY.A, 5,92$): une expansion aux États-Unis enfin possible. Le fournisseur montréalais de services numériques a confirmé hier une entente avec la société américaine Space Factory Media qui lui permettra d'offrir ses services commerciaux aux États-Unis à travers son réseau déjà établi, avec l'option de la racheter à un prix prédéterminé par la suite. Cette nouvelle arrive au moment où une clause de non-concurrence aux États-Unis datant de 2014, imposée à Stingray lors du rachat d'actifs de Mood Media, expire.  

 

Uni-Sélect (UNS, 5,70$): la gestion plus serrée des dépenses commence à porter ses fruits. Le distributeur canadien de pièces et d'équipement pour le secteur automobile profite d'un retour à la normale presque complet au Royaume-Uni, et d'un regain d'activité routière notable en Amérique du Nord, qui se traduit par une hausse des réclamations et des besoins en pièces de rechange et de finition. Les ventes demeurent au ralenti, mais à -11%, c'est mieux que le repli de 15% en juin et -46% en avril.

 

 

2 octobre

Dans les Titres en action:

 

 

  • Les actionnaires de Painted Pony Energy ont approuvé la vente de la société établie à Calgary au géant Canadian Natural Resources (CNQ, 20,92$) pour 69 cents par action. La société albertaine a indiqué vendredi que la transaction annoncée en août a reçu un appui de 86 %. Canadian Naturel versera 111 millions $ en espèces en plus d’assumer la dette de 350 millions $. L’acquéreur, connu pour sa production de pétrole des sables bitumineux, a souligné que cette acquisition lui permettrait de se positionner dans la région de Montney, en Colombie−Britannique, et dans le secteur du gaz naturel.
  • Après 20 ans dans le giron de l’américain Walmart (WMT, 141,32 $US), la chaîne de supermarchés Asda repasse sous pavillon britannique avec son rachat pour 6,8 milliards de livres par deux richissimes frères, magnats des stations-service. Les frères Mohsin et Zuber Issa se sont associés au fonds d’investissement TDR Capital pour mettre la main sur le numéro trois britannique du secteur au Royaume-Uni, selon un communiqué publié vendredi. Le géant américain de la distribution s’était résolu à mettre en vente Asda après avoir échoué en 2019 à marier sa filiale britannique au numéro deux du secteur au Royaume-Uni, Sainsbury’s, une opération retoquée par le gendarme de la concurrence. 
  • Le fabricant de véhicules électriques Tesla (TSLA, 448,16 $US) a indiqué vendredi qu’il avait livré 139 300 voitures au troisième trimestre, un chiffre en hausse de 43 % sur un an.  Les analystes interrogés par FactSet s’attendaient à ce que le groupe d’Elon Musk livre 137 000 voitures. Le groupe a aussi produit 145 036 voitures.  L’action reculait de 3,7 % dans les échanges électroniques d’avant séance vendredi.  Le groupe, qui a pâti comme les autres constructeurs automobiles des effets de la pandémie sur le fonctionnement de ses usines au printemps et sur les ventes, a désormais livré 318 350 voitures depuis le début de l’année. 
  • La banque d'affaires américaine Goldman Sachs (GS, 197,72$US) va racheter l'entreprise de cartes de crédit de General Motors (GM, 30,41$US), GM Card, pour environ 2,5 milliards de dollars, rapporte jeudi le Wall Street Journal (WSJ), citant des sources anonymes proches du dossier. La firme britannique Barclays était également sur les rangs, selon le quotidien américain des affaires. Goldman Sachs et GM Card se sont mises d'accord sur le prix de rachat et devraient finaliser l'opération dans les semaines à venir, selon le WSJ.
  • Il a suffi d'une photo d'une paire de Crocs (CROX, 45,03$US) flottant dans une piscine postée jeudi sur Instagram par le chanteur Justin Bieber, accompagné du mot «bientôt», pour faire bondir le titre du fabricant de sabots en plastiques à Wall Street. L'artiste canadien de 26 ans est régulièrement aperçu avec des Crocs, de diverses couleurs, au pied. Il n'en fallait pas plus pour que de nombreux internautes spéculent sur un futur partenariat entre Justin Bieber et Crocs. Le titre a bondi de plus de 12% dans la journée jeudi avant de terminer la séance en hausse de près de 6% à Wall Street.

 

 

À surveiller

 

Boralex (BLX, 39,60$): les énergies renouvelables ont le vent dans les pales. Les marchés privilégiés par Boralex pour son expansion se trouvent principalement en France, dans l'État de New York et au Québec, des endroits où la concurrence est moins forte et où des appels d'offres pour l'énergie éolienne son en cours. Ça devrait stimuler la demande de façon stable au fil des prochaines années. Ça devrait aussi permettre à la société de Kingsey Falls de générer un taux de rendement interne entre 8 et 10%, ce qui serait déjà appréciable.

 

CGI (GIB.A, 92,10$): ça va bien, si on se fie aux offres d'emploi. Les postes à combler au sein du fournisseur de services d'impartition montréalais sont à la hausse de 41% en septembre, comparativement à un déclin de 50% en juin dernier, ce qui est bon signe, croient les analystes. Ça signifie que le pire est passé pour CGI et que l'entreprise suit la tendance de son secteur, où la demande est de retour, ce qui permet de parler à nouveau de croissance.

 

Cineplex (CGX, 7,29$): des engagements financiers difficiles à respecter. La deuxième vague de COVID-19 frappe durement le monde du divertissement. Les salles de spectacle et de cinéma sont vides, voire carrément fermées au Québec, et les studios repoussent la sortie de leurs superproductions à plus tard en 2021. Pour un opérateur comme Cineplex, c'est plus qu'une vague, c'est une deuxième tempête parfaite. Les engagements à rembourser les banques au quatrième trimestre seront à peu près impossibles à respecter, et les sociétés comme Cineplex n'ont plus grand-chose à offrir en gage pour renégocier, constate Aravinda Galappathige, de Canacord Genuity.

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