Il s'attend à ce que cette tendance se maintienne, affectant non seulement la marge de profit de Couche-Tard, mais aussi le volume des ventes à la pompe et dans les dépanneurs. Il ne revoit pas ses prévisions de bénéfice pour le quatrième trimestre, mais ne l'exclut pas.
Quant à James Durran de la Financière Banque Nationale, il envisageait déjà ce scénario dans un rapport daté du 3 mars. Cependant, il croit que la situation peut profiter à Couche-Tard à plus long terme.
« La solidité de leur situation financière devrait leur permettre de survivre et de grandir dans ces conditions difficiles, en gagnant des parts de marché et possiblement en créant plus d'occasions d'acquisitions », a-t-il souligné.