Ce qui nous amène au plus difficile de l'exercice.
Le consensus des analystes pour 2015 fait état actuellement d'une progression des bénéfices d'un peu plus de 8 % aux États-Unis et de 9,5 % au Canada.
C'est surprenant.
Quelque chose nous dit qu'au cours des prochaines semaines, les espoirs canadiens vont reculer à la suite de la récente décision de l'OPEP de ne pas abaisser sa production.
Parce que les titres énergétiques représentent plus de 20 % de l'indice S&P/TSX, c'est un fort contingent de l'indice qui, malgré les ventes à terme, pourrait reculer de façon sentie en cours d'année. Il serait donc tout aussi étonnant que les bénéfices de l'indice TSX avancent plus que les bénéfices du S&P 500.