Enfin, les investisseurs ne risquent pas de s’ennuyer pendant le deuxième semestre. Plusieurs drames macro-économiques se continueront, en commençant par l’Europe. La situation en Chine est également à suivre, alors qu’on cherchera à observer des signes que l’économie reprend de la vigueur. À mon avis, la Chine risque de décevoir davantage que l’Europe!
Aux États-Unis, il y aura bien sûr les élections présidentielles, ce qui sera le cadet des soucis des marchés. Les investisseurs s’inquiéteront davantage du sort de l’économie après l’expiration des baisses d’impôts instaurées par le président Bush, provoquant une augmentation des impôts dans un contexte de faible croissance.
Bernard Mooney