La Commission scolaire de Montréal (CSDM) peine à gérer la retraite progressive.
Selon Marie-Christine Hébert, directrice adjointe des ressources humaines, le programme mis en place l'an dernier dans le cadre de la Loi 68 n'est pas facile à appliquer pour certains groupes.
" La retraite progressive n'est pas souvent octroyée aux directeurs d'école, par exemple, précise-t-elle. Chez les enseignants, par ailleurs, nous nous trouvons coincés, car lorsque nous cherchons du remplacement pour une journée par semaine, nous avons du mal à en trouver. C'est moins alléchant pour les jeunes travailleurs actifs qui cherchent du temps plein. On travaille sur les deux côtés du tableau : on essaie d'attirer la génération Y, mais on veut aussi fidéliser nos travailleurs âgés. "