Notre cible est atteinte. Et elle est comblée.

Publié le 04/04/2009 à 00:00

Notre cible est atteinte. Et elle est comblée.

Publié le 04/04/2009 à 00:00

En affaires, si on se contente de regarder les plus gros chiffres, on passe souvent à côté de la réalité. C'est le cas avec nos plus récentes données sur le lectorat, diffusées par PMB (Print Measurement Bureau).

À l'aide de sondages, cet organisme indépendant mesure le lectorat de nombreux magazines et journaux au Canada. PMB évalue le nombre de lecteurs par exemplaire vendu et apporte un éclairage approfondi sur le profil du lectorat.

Souvent, on est tenté de regarder le plus gros chiffre, celui du lectorat total. Les Affaires affiche une baisse à ce chapitre. Aussi étonnant que cela puisse paraître, nous en sommes satisfaits. Voici pourquoi.

Par définition, une publication spécialisée comme la nôtre se donne le mandat de toucher efficacement un lectorat trié sur le volet. Le profil de ce lectorat est de première importance. De plus, dans le nouvel univers média, lecteurs et annonceurs cherchent à combler des besoins toujours plus précis. La stratégie n'est pas de s'adresser à tous, mais de toucher mieux une clientèle de choix.

Notre cible est clairement atteinte. Tous les indicateurs liés à la qualité des contenus et au profil du lectorat sont en hausse. Entre autres, nous atteignons un nombre accru de lecteurs et de lectrices di-rec-te-ment situés dans notre cible principale, celle des gens d'affaires. Par exemple, le nombre de cadres supérieurs au sein du lectorat a bondi de 91 %, le nombre de pro-fes-sion-nels a aussi augmenté, de même que le nombre de femmes d'affaires.

Cette clientèle exigeante nous donne la meilleure note au pays pour la pertinence des con-tenus. Nos lecteurs affirment aussi consulter Les Affaires plus souvent et y con-sa-crer plus de temps que les lecteurs de toutes les autres publications d'affaires au Canada.

C'est là une cause importante de la baisse du lectorat total : chaque exemplaire reste plus longtemps dans les mains de chaque lecteur. Or, le lectorat total est calculé en considérant le nombre d'exemplaires en circulation, et en le multipliant par le nombre de lecteurs par exemplaire. Cette simple équation donne le plus gros chiffre, mais elle camoufle les données les plus importantes pour nous.

La réalité, c'est que nous vendons toujours autant d'exemplaires. En fait, toutes proportions gardées, nous en vendons plus que toute autre publication comparable en Amérique du Nord. Nos ventes en kiosques ont même progressé de 5,1% en 2008.

Si nous atteignons des résultats aussi forts, c'est grâce à vous.

J'en profite pour remercier chaleureusement nos lecteurs, lectrices et par-te-naires an-non-ceurs d'avoir adhéré fortement à notre stratégie, et de nous accorder leur con-fiance.

Stéphane Lavallée, éditeur

Groupe Les Affaires et Magazines

stephane.lavallee@trnascontinental.ca

QUATRE INDICATEURS CLÉS EN PROGRESSION

Hausse du taux d'appréciation des contenus.

Les Affaires obtient et de loin la note la plus élevée de toutes les publications d'affaires au Canada. En fait, nos lecteurs nous accordent désormais une note de 20 % plus élevée que la moyenne*.

Hausse du temps de lecture.

Les Affaires obtient et de très loin le meilleur résultat de toutes les publications d'affaires au Canada. En moyenne, nos lecteurs consacrent 20 minutes de plus à chaque édition que les lecteurs des autres publications d'affaires*.

Hausse de la fidélité.

Les Affaires est numéro un au pays au chapitre de la fidélité des lecteurs. La majorité ne manquent jamais une édition, et ils replongent dans chaque numéro plus souvent que les lecteurs des autres publications d'affaires au Canada*.

Hausse du lectorat cible.

Les Affaires rejoint les gens d'affaires dans une plus forte proportion que la moyenne des publications d'affaires au Canada. Notre présence auprès des dirigeants, entrepreneurs, gestionnaires et professionnels augmente de 9 %. Nous touchons plus que jamais notre cible principale, celle qui présente le meilleur profil en matière de participation aux décisions dans les entreprises, de revenus et d'épargnes.

* La moyenne est calculée à partir des données pour les publications d'affaires du Canada anglais : Canadian Business, Money Sense, Profit, Report on Business Magazine et Financial Post Magazine.

** L'expression " Ailleurs au Canada " fait référence à ces mêmes publications.

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