M. Zafirovski a précisé que sa famille a investi environ 500 000 $ en actions de la compagnie, dont une partie pour les frais de scolarité de ses trois garçons, parce qu'il était certain que Nortel avait entamé une remontée.
Puis, "le monde a basculé" et Nortel "a frappé un mur" avec la crise financière mondiale de l'automne, ce qui a amené la compagnie à demander la protection des tribunaux contre ses créanciers en janvier.
Actuellement, les actions de Nortel valent moins de 20 cents chacune, alors que l'an dernier, elles se vendaient environ 10 $.
M. Zafirovski témoignait jeudi matin devant le comité des finances, qui doit également entendre des anciens employés de l'entreprise qui se plaignent d'avoir été traités injustement depuis que la compagnie s'est mise à l'abri de ses créanciers.