Cette analyse a eu pour effet de faire perdre 2,40 $ aux actions de RIM à la Bourse de Toronto, à 52,39 $, et 1,31 $ US, à 42,92 $ US, sur le marché Nasdaq, où la plupart des actions sont transigées.
RIM devra espérer que les consommateurs achètent des téléphones intelligents car les entreprises réduisent leurs dépenses, a écrit M. Gelblum.
Les problèmes de Wall Street constituent une grande source de préoccupation pour plusieurs des analystes de RIM puisque les institutions financières sont de grandes utilisatrices des produits de RIM.
RIM, dont le plus important marché se trouve aux Etats-Unis, est l'une des rares entreprises canadiennes à avoir vu ses opérations croître durant le ralentissement économique.
La société compte embaucher quelque 3600 employés cette année et faire passer sa main-d'oeuvre à environ 15 000 personnes.