Plus d’accès à la technologie!

Publié le 19/11/2008 à 21:58

Plus d’accès à la technologie!

Publié le 19/11/2008 à 21:58

Par lesaffaires.com
Imaginez un chef d'entreprise du 21e siècle n'ayant pas accès à Internet ni à son Blackberry... difficile à croire, non ? C'est tout de même le sort qui sera peut-être réservé à Barack Obama, selon un article du New York Times.

Adepte de technologie, un élément clé de sa campagne présidentielle, Barack Obama sera probablement privé de son Blackberry pour des raisons de sécurité. Les risques d'infiltration par des « hackers » étant trop grands.

Le président élu aimerait devenir le premier président des États-Unis à communiquer par courriel et avoir un ordinateur portable dans le célèbre « oval office ». Mais la Maison-Blanche aura le dernier mot.

La technologie : pas pour tous les leaders
Jean-Marc Eustache, président de Transat, n'est pas un leader « ordinaire »; il n'utilise ni cellulaire, ni ordinateur... et aucune auto depuis plusieurs années déjà! Il est d'opinion que cette approche le rend plus efficace et mieux en mesure de supporter la pression, a-t-il expliqué au Journal Les Affaires en juin dernier.

Le président de Transat pense que les gens accrochés à leur cellulaire, ou qui ne quittent jamais leur écran d'ordinateur des yeux, s'imposent artificiellement un stress permanent, pas toujours essentiel, qui les empêche de prendre davantage de pression lorsqu'il le faut vraiment.

Et vous, pouvez-vous vivre sans l'Internet et votre Blackberry?

Say goodbye to Blackberry (en anglais)

À la une

Logistique: sale temps pour les entreprises

03/05/2024 | François Normand

ANALYSE. Depuis 2020, les crises se multiplient, et les travailleurs du CN et du CPKC pourraient bientôt être en grève.

Les travailleurs du CN et du CPKC se donnent un mandat de grève

Un arrêt de travail au CN et au CPKC simultanément pourrait perturber les chaînes d’approvisionnement.

Bourse: Wall Street salue l’accalmie de l’emploi américain

Mis à jour le 03/05/2024 | lesaffaires.com, AFP et Presse canadienne

REVUE DES MARCHÉS. La Bourse de Toronto prenait plus de 100 points à la fermeture.