Résultat : GM a enregistré la plus grosse chute de la journée à Wall Street, à hauteur de 17%, à 2,25 dollars américains.
Cela étant, M. Henderson entend bien remettre sur pieds GM, mais envisage que cela se fasse sous la protection du chapitre 11 de la Loi sur les faillites.
Des efforts nouveaux et plus vigoureux seront apportés afin de mettre de l'avant des mesures supplémentaires. Cela pourrait signifier des compressions plus douloureuses et sans doute des fermetures additionnelles, selon ce qu'a admis M.Henderson.
Lundi, le président américain Barack Obama a indiqué que le plan de relance présenté par GM était insuffisant. L'entreprise a obtenu un délai de 60 jours pour déposer une proposition modifiée.
Les autorités fédérales canadiennes ont émis les mêmes commentaires et exigences par la suite.
D'autre part, Fritz Henderson a dit avoir foi en l'entente conclue entre GM et le syndicat canadien des Travailleurs canadiens de l'automobile (TCA). Malgré le rejet du plan de restructuration de la compagnie par Washington et Ottawa, il ignore encore s'il demandera au syndicat de reprendre les négociations.
M.Henderson assure que GM entend maintenir une présence manufacturière au Canada.
Avec PC.