Il a également accepté, si son offre était rejetée par le conseil d'administration de Best Buy, de ne pas se lancer dans une acquisition avant janvier 2013. Il aura alors l'occasion de faire une seconde offre, et si celle-ci est encore rejetée, il attendra l'expiration de l'accord (valable un an) avant toute nouvelle action.
S'il respecte les conditions de cet accord, M. Schulze obtiendra en tout état de cause deux sièges au conseil d'administration de Best Buy, représentatifs de sa part dans la société, indique encore le communiqué.
L'action Best Buy progressait de 6,48% à 18,43$ US.
Best Buy, qui souffre de la concurrence agressive des distributeurs en ligne, est en pleine phase de transition. Pour réduire ses pertes, il avait lancé en mars un plan de réduction de coûts de 800 millions de dollars, prévoyant la fermeture de magasins de grande surface aux Etats-Unis et l'ouverture de magasins de plus petite taille. Et il vient de nommer un nouveau PDG, le Français Hubert Joly, qui doit entrer en fonctions en septembre.
