D’ores et déjà, Citigroup, Morgan Stanley et UBS ont procédé à des hausses de salaires de certains employés. Mais elles n’ont pas amélioré les boni, le sujet étant impopulaire auprès du grand public, depuis la crise financière survenue en 2007.
«La compétition est redevenue forte depuis quelques temps, pour recruter les meilleurs éléments. Il faut donc trouver des arguments de poids pour les convaincre de rester, ou de venir chez vous», dit Jamie Dimon, pdg de JPMorgan Chase.
Avec Bloomberg.