Boeing: commande de 7,2 G$ US pour des 737 MAX

Publié le 09/07/2012 à 08:16, mis à jour le 09/07/2012 à 08:16

Boeing: commande de 7,2 G$ US pour des 737 MAX

Publié le 09/07/2012 à 08:16, mis à jour le 09/07/2012 à 08:16

Par AFP

Un Boeing 737 en phase d'atterrissage. [Photo : Bloomberg]

La société américaine de location d'avions Air Lease Corporation (ALC) a annoncé une commande géante de 75 moyen-courriers 737 remotorisés à Boeing, représentant 7,2 G$ US au prix catalogue.

Le patron d'ALC, Steven Udvar-Hazy, considéré comme l'inventeur de la location vente aux compagnies aériennes, a ajouté que cette transaction prévoyait également 25 options.

Il s'agit de la première commande du MAX par une société de leasing, ont souligné ALC et Boeing dans un communiqué.

Le 737 MAX complète parfaitement le portefeuille d'avions d'Air Lease, qui détient une flotte croissante de 737-800 nouvelle génération, a commenté M. Udvar-Hazy.

"Le 737 MAX apporte l'amélioration dont nos compagnies clientes ont besoin pour rester compétitives à l'avenir", a-t-il ajouté.

Cette annonce intervient au premier jour du salon aéronautique de Farnborough, qui se déroule toute la semaine au Royaume-Uni et qui devrait consacrer le succès du 737 MAX de Boeing, en concurrence avec l'Airbus A320neo.

ALC rappelle avoir commandé au total 170 appareils Boeing, dont 75 737 MAX, 78 737-800 nouvelle génération, 5 777-300ER (Extended Range) et 12 787-9 Dreamliners.

PLUS : Boeing revient en force au salon de Farnborough

À la une

Filière batterie: le beau (gros) risque

Édition du 08 Mai 2024 | Dominique Talbot

Avec l’arrivée des géants de la batterie, Bécancour est au cœur du plus grand projet économique au Québec.

Pierre Fitzgibbon: «Dans la filière batterie, on est rendu trop loin pour reculer»

Édition du 08 Mai 2024 | Les Affaires

Le superministre a rencontré «Les Affaires» en table éditoriale afin de préciser sa vision de la filière batterie.

Table éditoriale avec le PDG de Northvolt: des batteries «made in Québec» avec du contenu d'ailleurs

En table éditoriale avec «Les Affaires», Paolo Cerruti affirme qu'il faudra être patient.