Une entreprise chinoise veut fabriquer les voitures du Métro de Montréal. Photo: STM
La Société de transport de Montréal (STM) observe le silence complet dans le dossier controversé d’une société chinoise, désireuse de soumissionner pour le contrat de remplacement des voitures du métro de Montréal.
PLUS: Les Chinois veulent le contrat du métro
PLUS: Qui parle pour Zhuzhou Electric Locomotive?
PLUS: Charest et Tremblay connaissaient l'intérêt des Chinois
«Nous ne pouvons rien dire, a déclaré Odile Paradis, porte-parole de la STM. À partir du moment où une mise en demeure déposée, nous ne pouvons nous permettre de commenter une affaire qui pourrait se retrouver devant les tribunaux.»
Cette dernière se contente d’expliquer que les services juridiques de la STM travaillent présentement à la vérification des informations diffusées jusqu’à maintenant. Notamment, si les manifestations d’intérêt de Zhuzhou Electric Locomotive, ont bien été reçues par la société.
«Mais vous savez, il y a bien des façons de communiquer avec la STM et nous sommes 8000 employés, poursuit Mme Paradis. Alors, il nous faut vérifier tout cela avant de déclarer quoi que ce soit.»
