Cette évolution reflète en partie la faiblesse de l'économie canadienne, selon RBC. Elle découle également «des récents progrès technologiques, de la mondialisation, de la réduction de la réglementation à leur égard et de l'ascension du dollar canadien».
Du coup, pour renforcer leur compétitivité, les PME ont eu tendance à fusionner avec d'autres entreprises. Cela est surtout vrai pour les micro et les petites entreprises (moins de 99 employés), à l’exception des secteurs les plus durement touchés par la crise, comme ceux du textile et du vêtement.
«Nous y voyons un signe positif pour notre économie. La productivité a tendance à se renforcer avec l'accroissement de la taille des entreprises», dit Robert Hogue, premier économiste, de RBC.