1. Maîtriser les étiquettes
Une étiquette (tag) permet de regrouper des dépenses de plusieurs catégories sur un même thème. L’intérêt ? Exclure facilement certaines dépenses du lot, par exemple des dépenses professionnelles qui seront remboursées. Cette fonction est très intéressante aussi pour cerner des tendances : quand on sort avec tel groupe, dépense-t-on beaucoup plus, par exemple ? On peut aussi s’en servir pour rapatrier tous les coûts d’un projet précis de rénovation (autre truc privilégié par Mathieu : définir des catégories très précises pour ce genre de projet, et les sortir du lot).
2. Définir des budgets « mouvants »
On a moins dépensé en restaurants le mois dernier ? On peut choisir de se faire plaisir en ajoutant la balance à notre budget restauration du mois courant en précisant cette fonction dans notre budget, question de profiter de cette petite économie immédiatement.
3. Ne pas oublier les dépenses en argent comptant
Ce retrait de 60 $ au guichet, qu’en est-il devenu ? Si on catégorise régulièrement nos dépenses (règle numéro un, et deux !), c’est facile, mais mission impossible autrement. Une nouvelle fonction de Mint permet de diviser une entrée en différentes catégories. On s’est payé un lunch rapide et un taxi ? On sépare le montant en conséquence.
M. Cloutier-Boutin simplifie au maximum ses finances personnelles en utilisant toujours sa carte de crédit (en plus de profiter des fameux points).
4. Être alerté pour ne pas s’alarmer
Des frais facturés par notre banque ? Un solde bancaire qui approche dangereusement de notre seuil critique ? Ou un compte de dépenses qui dépasse la limite qu’on s’est allouée ? On peut recevoir un courriel pour nous alerter immédiatement… et réagir en conséquence !