Le gestionnaire préfère toujours les actions américaines aux canadiennes, mais avec moins de conviction qu'avant.
«L'économie américaine se démarque, mais ça se reflète déjà dans les cours», dit-il.
De plus, la montée du dollar américain et la faiblesse des autres économies nuiront aux bénéfices des multinationales réalisés à l'étranger.
Sa firme vient aussi d'encaisser d'importants gains réalisés dans les obligations américaines de 30 ans achetées en décembre 2013.
«Avec ces profits, nous rachetons des fonds négociés en Bourse de titres américains à revenu fixe conçus pour bénéficier de l'éventuelle remontée des taux», précise-t-il.