Photo : Bloomberg
Le secteur des sociétés pétrolières et des services financiers passent un mauvais quart d'heure à Wall Street et plombent les indices alors qu'approche la mi-séance lundi.
À Toronto, la situation n'est guère mieux pour l'instant, quoique les banques tiennent davantage le coup.
Vers 11h45, voici le portrait de la situation à Toronto et New York :
- Le S&P/TSX lâche 60 points, ou 0,5 %, à 12 896 points;
- Le S&P 500 recule de 7 points, ou 0,6 %, à 1 193 points;
- Le Dow Jones se replie de 78 points, ou 0,7 %, à 11 125 points;
- Le Nasdaq perd moins d'un demi-point, , à 2 518 points;
- Le baril de pétrole glisse de 89 cents US, ou 1,1 %, à 81,09 $ US;
- L'once d'or recule d'un maigre 1,20 $ US, ou 0,1 %, à 1 351,10 $ US;
- Le dollar canadien perd 0,09 cent US, à 98,15 cents US.
Après avoir nié pendant plusieurs jours sa nécessité, l'Irlande a finalement accepté hier l'adoption d'un plan d'urgence de l'Union européenne (UE) et du Fonds monétaire international (FMI). Les détails ne sont pas connus, mais le plan est estimé entre 90 et 95 milliards d'euros.
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En Europe, les marchés ont ouvert en hausse lundi, mais ont finalement retraité. Londres a perdu 0,86 %, Paris a reculé de 0,1 % et Frankfort a glissé de 0,33 %.
Le titre de la Banque Scotia recule de 0,44 %, ou 24 cents, à 54,41 $, après que l'institution financière ait annoncé le rachat des actions qu'elle ne détenait pas encore de DundeeWealth. La Scotia détenait déjà 18 % de l'entreprise de gestion de patrimoine. Celui de Dundee Corporation, qui détient encore la majorité des actions de DundeeWealth, s'apprécie de presque 9 % en gagnant 1,60 $, à 19,90 $.
L'action de Manulife recule de 4,8 %, ou 74 cents, à 14,61, après qu'un analyste de Citigroup ait recommandé de vendre le titre.
