«L’Homo agilitus vit par conséquent en plein paradoxe : il se doit de foncer lentement», a dit le conférencier. Ainsi, il s’agit d’une personne aimant le risque, mais qui ne prend que des risques calculés. Et ce, en gardant toujours en tête les intérêts et les capacités des uns et des autres. Un peu comme un pilote de Formule 1, serein et nerveux à la fois, qui veut aller toujours plus vite, mais qui doit tenir compte des courbes du circuit et des autres voitures en course…
Lee Lacocca, un ex-PDG de Ford, aimait à dire : «La vitesse du patron est celle de l’équipe»…