Comme un petit entrepreneur lui disait avoir du mal à avaler de telles actions, alors que les PME se battent pour survivre, Bernanke a reconnu: "Rien ne m'a plus frustré et mis en colère que d'avoir à intervenir quand des sociétés avaient 'fait des paris hasardeux'". Mais il a rappelé que ne rien faire aurait été encore plus dommageable pour l'économie.
"Je ne voulais pas être la patron de la Réserve fédérale qui aurait présidé la Seconde Grande dépression" a précisé le banquier, "Alors je me suis pincé le nez. Cela me dégoûte autant que vous".