La charge provient de l’unité services bancaires internationaux constituée d’acquisitions de banques à l’étranger ayant coûté plus cher que la valeur du bilan des compagnies achetées.
La valeur de ses filiales a été érodée par le recul du marché immobilier résidentiel aux États-Unis et par la détérioration de la conjoncture économique globale. La baisse de la valeur de marché des banques américaines a aussi une incidence sur la valorisation des actifs bancaires américains.
Selon les normes comptables canadiennes, ces facteurs doivent être tenus en compte lors de tests de valeur périodiques qui s’appliquent aux montants inscrits aux bilans pour déterminer si ces écarts d’acquisition sont toujours justifiés.
Dans ce cas, la charge aura un impact sur les résultats de la RBC au second trimestre dont les détails seront rendus publics le 29 mai.
La RBC annonce des charges de 850 M$
Publié le 17/04/2009 à 00:00
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