C’est malgré tout mieux que ce qu’anticipaient la plupart des analystes américains, qui tablaient sur un bénéfice net de 29 cents par action.
Ces résultats tiennent compte d'un bénéfice exceptionnel tiré de la vente de la participation de BofA dans la China Construction Bank. Ils incluent aussi 713 millions de dollars américains de dividendes versés et liés à un renflouement fédéral, ainsi qu'une charge liée à l'organisme fédéral de garantie des dépôts (FDIC).
Quant au produit net bancaire, il augmente de 61%, à 32,8 milliards de dollars américains, grâce à l'acquisition de Merrill Lynch.
«Des épreuves difficiles nous attendent encore, en raison de la faiblesse persistante de l'économie mondiale, de la hausse du chômage et de la dégradation de la qualité du crédit», a souligné Kenneth Lewis, directeur général, de BofA.
Avec Reuters.