Gaz de schiste : fuite en Pennsylvanie un argument de plus pour un moratoire
Publié le 27/01/2011 à 12:30
Il préférerait un véritable moratoire, qui mettrait toutes les entreprises exploratrices sur un même pied, une sorte d'arrêt temporaire, le temps de mieux encadrer l'exploration et l'exploitation de ces gaz, d'assurer le respect des normes environnementales et d'en asseoir l'acceptation sociale au Québec.
"On a encore le temps, nous, d'en faire un moratoire", a insisté M. Gaudreault.
Quant au rôle du nouveau représentant de l'Association pétrolière et gazière du Québec, l'ancien premier ministre Lucien Bouchard, il devrait faire ce qui est "responsable" dans le contexte, dit le PQ, à savoir suggérer à ses membres d'appuyer la demande d'un moratoire.