Selon l'ONG, du fait de ce mécanisme fiscal, la plupart des entreprises aux Etats-Unis sont en réalité soumises à un taux d'imposition "bien plus bas" que le taux théorique et que celui en vigueur dans les pays où elles sont implantées.
Ce débat n'est pas nouveau aux Etats-Unis.
En 2011, General Electric avait dû reconnaître qu'il n'avait pas payé un centime d'impôt sur les sociétés aux Etats-Unis en 2010. Selon le magazine Forbes, il en avait été de même en 2009 alors que cette entreprise, l'une des plus importantes du pays, avait dégagé 10,7 milliards de bénéfices.