«Nous savions que cela n'augurait rien de bon pour nous ici au Québec. Indalex possède cinq usines au Canada. Elle a de graves problèmes de liquidités pour acheter les matières premières en particulier les billettes d'aluminium. Depuis deux mois, nous avons noté une
augmentation des problèmes dans l'usine de Pointe-Claire. Nous devons sauver cette usine au car non seulement ce sont plus de 225 emplois qui sont en jeu mais c'est aussi la plus rentable du groupe», selon Pierre Arseneau, permanent du Syndicat des Métallos (FTQ), qui représente des employés de l’usine.
L’usine d’Indalex à Pointe-Claire s’est placée sous la protection de la Loi sur les arrangements avec les créanciers des compagnies le 3 avril, affirme le Syndicat.