Pour sa part, le président français, Nicolas Sarkozy, invite les dirigeants des pays concernés par la crise à se réunir avant la fin de l'année pour en tirer des leçons. Il s'agit, à son avis, de la crise financière la plus grave qu'ait connue le monde depuis celle des années 30.
Le président français, qui s'exprimait à l'ONU en tant que président du Conseil européen, n'a cependant avancé aucune proposition immédiate pour résorber la crise financière. Néanmoins, il a plaidé pour la reconstruction d'un capitalisme régulé, dans lequel les banques renoncent à la spéculation.