Une floppée de tablettes Android

Publié le 01/02/2011 à 00:00, mis à jour le 28/03/2011 à 16:50

Une floppée de tablettes Android

Publié le 01/02/2011 à 00:00, mis à jour le 28/03/2011 à 16:50

Par Alain McKenna

On trouve de tout chez les concurrents du iPad. Mais la qualité est inégale.

Samsung Galaxy Tab

650 $

www.samsung.ca

Elle n'est pas la tablette numérique la plus abordable sur le marché actuellement au Canada, loin de là, pourtant, la Galaxy Tab semble avoir le vent dans les voiles. Avec plus d'un million d'unités vendues, elle domine dans le marché des tablettes Androïd. Alors, qu'est-ce qui fait donc courir les troupes ? Le superbe écran tactile de 7 pouces ? Le processeur Samsung de 1 GHz ? Les 32 gigaoctets de mémoire interne ou la connexion sans fil WiFi et 3G ?

Un peu tout ça. Peut-être aussi le fait que son système d'exploitation est enfin parvenu à maturité. Android 2.2 est certainement capable de rivaliser avec l'iOS du iPad sur le plan de la polyvalence. Les quelque 120 000 applications de son marketplace offrent sensiblement la même variété que l'App Store, et l'existence d'un marché parallèle d'applications ne fait frémir ni Google ni Samsung, alors que chez Apple, on est moins tolérant... Pour en revenir à la Galaxy Tab, son format de 7 pouces en fait un appareil multimédia facile à transporter et d'aspect agréable. Les vidéos s'y visionnent sans effort. Les livres numériques, c'est moins sûr.

Dell Streak

De 200 à 580 $, selon le forfait sans fil

www.dell.ca

La Streak se trouve à mi-chemin entre un téléphone et une tablette. Son format, plus compact que celui de la Galaxy Tab, la rend plus portable encore, mais son écran de 5 pouces est tout de même assez grand pour qu'on puisse y afficher du contenu Web ou y regarder des vidéos. Un conseil : traînez un chargeur de poche, sa batterie tombe à plat rapidement.

Archos 101

300 $

www.archos.com

Une tablette multimédia signée Archos, c'est une bonne nouvelle. Animée par Android 2.2, la 101 est sans doute la tablette la plus polyvalente et la plus abordable sur le marché. L'astuce : elle est livrée sans mémoire de stockage. Il faut considérer l'achat d'une carte-mémoire SDHC additionnelle, sinon, tout y est, de la vidéoconférence à la sortie HDMI.

eBuzz 2.1

260 $

www.ebuzztechnologies.com

La tablette eBuzz 2.1 est fabriquée en Chine, mais elle est vendue par la société québécoise eBuzz Technologies, d'où son nom. L'appareil possède toutes les vertus d'une tablette à écran de 7 pouces animée par Android 2.1, et ressemble à une version bas de gamme de l'iPad. On y retrouve même un module GPS. Son défaut : sa finition en fait un appareil très ordinaire.

D-LINK POWERLINE AV

115 $ / pour le bureau/www.dlink.ca

Internet sur les lignes de courant

Les périphériques informatiques se branchent désormais directement au réseau Ethernet. Que faire quand ce câble réseau encombrant n'est pas assez long ? On opte pour un pont de la trempe du PowerLine AV, de D-Link. On branche les deux adaptateurs du kit à des prises de courant distinctes, ce qui crée une connexion réseau grâce au câblage électrique d'un même immeuble. En raison d'un débit maximal de 100 mégabits/seconde, aucun risque de ralentir l'impression d'un rapport d'études, ni de saccader la diffu- sion d'une webémission sur une de ces nouvelles télés branchées...

LACIE FASTKEY

160 $ / pour la route/www.lacie.com

Une p'tite vite

La nouvelle norme en matière de connexion informatique arrive à la vitesse grand V. Il s'agit de la troisième génération du port USB, alias USB 3.0 SuperSpeed. Promettant une vitesse de connexion dix fois supérieure à la norme USB précédente (USB 2), elle fait son apparition sur de nouveaux périphériques à haute capacité, comme la clé USB FastKey de la société LaCie. D'une capacité de 30, 60 ou 120 gigaoctets, cette clé est aussi rétrocompatible avec les ports USB 2, mais c'est à 4,8 gigabits/seconde qu'elle brille le plus.

ERICSSON W35 TURBO HUB

À partir de 150 $ / pour le chalet/www.bell.ca ou www.rogers.com

Avec le sans-fil

Le récepteur sans fil W35 de la société Ericsson capte les ondes cellulaires des réseaux numériques de Bell et Rogers et les convertit en un signal WiFi pour appareils informatiques. Muni en prime d'une prise téléphonique, on peut y brancher un bon vieux téléphone résidentiel. Idéal pour le chalet (pourvu que celui-ci soit à proximité d'un réseau sans fil), l'appareil est vendu par les deux fournisseurs de services sans fil, accompagné d'un plan de connexion qui en rebutera quelques-uns, mais qui comblera ceux qui aiment passer leurs week-ends plus près du lac.

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