Le Fonds de solidarité se déleste des obligations

Publié le 04/07/2012 à 17:00, mis à jour le 04/07/2012 à 17:55

Le Fonds de solidarité se déleste des obligations

Publié le 04/07/2012 à 17:00, mis à jour le 04/07/2012 à 17:55

Par Stéphane Rolland
Un autre défi : garder les sièges sociaux

L’autre défi pour le Fonds, mais aussi pour l’économie québécoise, est de conserver les sièges sociaux au Québec alors que plusieurs entrepreneurs sont à la recherche d’une relève, croit M. Bolduc. «Notre rôle sera de maintenir les sièges sociaux au Québec, mais pas à n’importe quel prix.»

« On ne veut pas faire ça de façon dogmatique, se défend-il. Il va y avoir des entreprises vendues à des intérêts étrangers. Il ne faut pas s’en formaliser. Mais, il faut comprendre qu’il y a des avantages à conserver les sièges sociaux au Québec. »

Dans cet ordre d’idée, le Bureau de la concurrence vient de donner son feu vert à l’acquisition du Groupe TMX par Maple, dont le Fonds de solidarité fait partie. L’offre d’achat avait été formulée en réponse à une offre d’acquisition du London Stock Exchange.

« Dans ce cas, c’est la même chose, explique-t-il. Ce sont des technologies et une expertise que nous avons intérêt à conserver. Nous croyons que nous pouvons les faire fructifier. »

PLUS: Rachat du TMX: le Bureau de la concurrence dit «oui»

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