> L'estime de soi. Elle était mesurée sur une échelle de 5 points à l'aide de phrases comme «En général, je suis satisfait de moi».
> L'intérêt. Il était ici question de l'intérêt que l'on a à travailler, tant de l'intérêt direct (rémunération, etc.) qu'indirect (attente de résultats de la part du boss, etc.).
> Le plaisir. Il était évalué avec des phrases du genre «Mon travail est si intéressant que je n'ai pas l'impression de travailler».
> La tension psychologique. Elle peut amener, si elle est forte, à la dépression et au burnout.
> La carrière. La recherche du succès dans sa carrière peut être un moteur pour la performance personnelle.
Dans un second temps, les participants ont dû accepter une évaluation à 360 degrés. C'est-à-dire qu'ils ont autorisé que plusieurs de leurs proches collaborateurs aient été interrogés de manière exhaustive à leur sujet (là encore, la confidentialité des réponses était garantie). Ces proches pouvaient être leur boss immédiat, des collègues, ou encore des clients.
L'objectif de l'évaluation à 360 degrés était de mesurer avec précision la performance individuelle de chacun des participants à l'expérience. Et ce, sur différents plans : le leadership, l'esprit de coopération, le risque de dérapage professionnel, etc.