RIM: le BB10, un coup de dés

Publié le 10/12/2012 à 09:21, mis à jour le 10/12/2012 à 11:33

RIM: le BB10, un coup de dés

Publié le 10/12/2012 à 09:21, mis à jour le 10/12/2012 à 11:33

Photo: Bloomberg

BLOGUE. Le sentiment se réchauffe. Tandis que le lancement des téléphones intelligents BB10 approche (30 janvier), un certain nombre d'analystes deviennent plus optimistes à l'égard du titre de Research In Motion. Devrait-on suivre le thermomètre ?

J'utilise l'iPhone, parce que c'est ce que privilégie l'entreprise. Je ne me suis jamais autant ennuyé du vieux BlackBerry. Comme beaucoup de gens d'affaires, mes besoins sont surtout de nature courriel. Et il est nettement plus facile d'expédier des messages en utilisant le clavier du BlackBerry qu'en chantant une messe avec le clavier virtuel de l'iPhone.

Comment expliquer, donc, la si forte perte de popularité de Research In Motion (Nasdaq, RIMM, 11,60 $ US) dans la communauté d'affaires ? Réponse : les loisirs et la mode.

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Un ami avocat jure par l'iPhone, qu'il utilise comme sextant. Sa préférence pour l'appareil vient du fait que, sur son voilier, il peut suivre son positionnement et s'orienter sur des cartes marines. Un collègue l'aime bien parce qu'il peut évaluer ses performances athlétiques. Le GPS lui permet de calculer s'il tient le rythme et le nombre de calories qu'il est train de brûler.

D'autres, et c'est sans doute la raison la plus populaire, préfèrent tout simplement l'iPhone au BlackBerry parce que, lorsqu'ils l'exhibent, ils ont l'air nettement plus «in».

Qu'offrira le BB10 ?

À propos de ce blogue

Diplômé en droit de l'Université Laval, François Pouliot est avocat et commente depuis plusieurs années l'actualité économique et financière. Il a été chroniqueur au Journal Le Soleil, a collaboré au Globe and Mail et dirigé les sections économiques des différentes unités de Quebecor Media, notamment la chaîne Argent. Au cours de sa carrière, il a aussi fait du journalisme d'enquête ce qui lui a valu quelques distinctions, dont le prix Judith Jasmin. La Bourse Southam lui a notamment permis de parfaire son savoir économique à l'Université de Toronto. François a de même été administrateur de quelques organismes et fondation. Il est un mordu des marchés financiers et nous livre son analyse et son point de vue sur diverses sociétés cotées en bourse. Québec inc. sera particulièrement dans sa mire.

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