Photo: Bloomberg
BLOGUE. Le sentiment se réchauffe. Tandis que le lancement des téléphones intelligents BB10 approche (30 janvier), un certain nombre d'analystes deviennent plus optimistes à l'égard du titre de Research In Motion. Devrait-on suivre le thermomètre ?
J'utilise l'iPhone, parce que c'est ce que privilégie l'entreprise. Je ne me suis jamais autant ennuyé du vieux BlackBerry. Comme beaucoup de gens d'affaires, mes besoins sont surtout de nature courriel. Et il est nettement plus facile d'expédier des messages en utilisant le clavier du BlackBerry qu'en chantant une messe avec le clavier virtuel de l'iPhone.
Comment expliquer, donc, la si forte perte de popularité de Research In Motion (Nasdaq, RIMM, 11,60 $ US) dans la communauté d'affaires ? Réponse : les loisirs et la mode.
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Un ami avocat jure par l'iPhone, qu'il utilise comme sextant. Sa préférence pour l'appareil vient du fait que, sur son voilier, il peut suivre son positionnement et s'orienter sur des cartes marines. Un collègue l'aime bien parce qu'il peut évaluer ses performances athlétiques. Le GPS lui permet de calculer s'il tient le rythme et le nombre de calories qu'il est train de brûler.
D'autres, et c'est sans doute la raison la plus populaire, préfèrent tout simplement l'iPhone au BlackBerry parce que, lorsqu'ils l'exhibent, ils ont l'air nettement plus «in».
Qu'offrira le BB10 ?