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Fairfax est bien seul dans son projet de retirer BlackBerry de la Bourse. Le principal actionnaire du fleuron canadien déchu peine à trouver un partenaire pour racheter l’entreprise.
L’équipe de Fairfax a rencontré la direction des principaux régimes de retraite canadiens et des grandes sociétés de technologies, mais aucun ne semble prêt à tenter l’aventure, selon des sources citées par le Globe and Mail.
Rappelons que le conseil d’administration de BlackBerry mène un examen stratégique, qui pourrait aboutir à la mise en vente de la société. La démarche doit se terminer en novembre.
Une source qui travaille dans le milieu financier à Toronto affirme que des acteurs comme Microsoft et Google avaient un intérêt pour BlackBerry, bien présente dans les marchés internationaux. L’érosion des parts de marché a toutefois tempéré cet intérêt pour l’entreprise.
