Migrer vers l'informatique en nuage sans turbulences

Publié le 11/12/2010 à 00:00, mis à jour le 21/12/2010 à 09:09

Migrer vers l'informatique en nuage sans turbulences

Publié le 11/12/2010 à 00:00, mis à jour le 21/12/2010 à 09:09

Dans la plupart des cas, le modus operandi est le même. On commence par configurer le nouveau serveur virtuel, puis on y installe le système, sans modifier celui qui dépend de serveurs traditionnels. Ensuite, lorsque la complexité du système le justifie, on mène une série de tests pour garantir la viabilité du nouvel environnement. " Il est important de faire des tests, avec l'équipe interne des TI, pour s'assurer que tout fonctionne ", continue le directeur général de Pyrameda.

Finalement, après que le système parallèle installé en nuage fonctionne adéquatement, la dernière étape est de transférer une fois pour toutes la base de données, qui a pu évoluer durant la période des tests, puis de faire du système installé en nuage la plateforme principale des activités.

Une telle transition ne constitue souvent, du moins au Québec, qu'un premier pas vers une migration complète. Par la suite, en fonction de l'appréciation des employés et des dirigeants, d'autres systèmes pourront eux aussi être transférés. Caroline Fortin, qui travaille pour la division internationale de Québec Amérique, QA International, apprécie beaucoup la mobilité que lui procure la migration vers Google Apps. " Je dois voyager beaucoup et je peux continuer de faire avancer mes dossiers sur mon iPhone ", explique-t-elle. La prochaine étape pour l'éditeur serait de transférer la banque de données qui sert à confectionner ses ouvrages de référence sur demande, comme le Dictionnaire visuel, dans les nuages. Croyant beaucoup au Web, Caroline Fortin entrevoit l'étendue de ses possibilités. " Je rêve du jour où chaque consommateur pourra créer son propre Visuel sur mesure. "

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