La raison est simple : la direction du constructeur automobile américain prévoit d'être alors engagée dans une phase de restructuration de sa dette, que ce soit dans le cadre d'un échange volontaire ou d'une procédure judiciaire, selon Renee Rashid-Merem, la porte-parole de GM.
Or, un tel échange a de fortes chances de ne pas être terminé d’ici le 1er juin, ce qui empêcherait le paiement du milliard, a-t-elle ajouté. Cet échange permettrait à GM de réduire sa dette obligataire, qui s'élève actuellement à 28 milliards de dollars américains.
Avec Reuters.