"Le protectionnisme est mauvais, c'est comme un poison", a déclaré le Premier ministre tchèque Mirek Topolanek, faisant écho aux peurs des pays d'Europe de l'Est d'être lourdement affectés par la crise, et d'être victimes d'un "rideau de fer" cette fois économique.
Le président de la Commission européenne José Manuel Barroso a pour sa part estimé qu'un marché unique fort était le moyen de se sortir de cette crise