L’Alberta veut nos bras et notre technologie

Publié le 11/05/2012 à 12:01, mis à jour le 14/05/2012 à 14:30

L’Alberta veut nos bras et notre technologie

Publié le 11/05/2012 à 12:01, mis à jour le 14/05/2012 à 14:30

Des machines, des bras, des cerveaux

Le président de l’AEG insiste sur la présence ici d’un important secteur des technologies vertes. «Nous pensons que ces entreprises peuvent nous aider à surmonter les défis que présente notre industrie énergétique.»

Pour Tim Shipton, l’important secteur manufacturier du Québec peut également bénéficier largement de l’industrie des sables bitumineux, tout en évitant la surchauffe économique à la province de l’Ouest.

«Les produits, les machines dont nous avons besoin, devraient être manufacturés ici. Pas besoin de venir en Alberta et de construire une usine. Si vous avez une certaine expertise, vous pouvez rééquiper votre usine au Québec. Ça ne crée pas de fuite de technologie hors de la province.»

Pour lui, cette nouvelle conception a fait son chemin petit à petit dans les cinq dernières années. «Nous ne voulons pas répéter les erreurs des booms passés, dit-il. Nous ne voulons pas faire surchauffer l’économie jusqu’à ce que l’inflation fasse exploser les coûts et salaires, au détriment du développement économique.»

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