Crédit: Conseil des appellations réservées et des termes valorisants (CARTV)
Les régions les plus «bios » du Québec, en nombre d'entreprises détenant un certificat biologique, sont les Chaudière-Appalaches, la Montérégie, le Bas-Saint-Laurent et le Centre-du-Québec.
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Voilà l’une des données qui ressort de la cinquième édition des statistiques concernant le secteur biologique québécois, présentée par le Conseil des appellations réservées et des termes valorisants (CARTV), l'organisme mandaté par le gouvernement du Québec pour gérer et surveiller l'utilisation de l'appellation biologique sur le territoire québécois.
On y apprend notamment qu’en date du 31 décembre 2010, 1339 entreprises québécoises, dont plus de 1000 exploitants agricoles et acéricoles, détenaient une certification biologique au Québec.
En 19 tableaux, le document dresse le portrait du secteur bio au Québec, en termes d'organisation du secteur, de ressources utilisées et de la gamme de produits offerts. Aussi, il contient pour la première fois un aperçu par région des activités des exploitations agricoles détenant une attestation de précertification et une estimation du nombre d'hectares utilisé comme pâturage.
En comparaison des quelque 46 000 hectares en cultures et en pâturages qui sont sous contrôle biologique, ce qui représente plus de 2 % du total cultivé dans la province, le secteur de la production acéricole semble avoir toute une longueur d’avance : plus de 7,2 millions d'entailles destinées à la production des produits de l'érable sont sous contrôle biologique, soit 17 % du total québécois.
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