La crise publicitaire qui secoue les médias du monde entier fait donc particulièrement mal à Metro International. Plus tôt cette année, le groupe a dû se résoudre à fermer son édition espagnole et à vendre ses publications aux Etats-Unis (New York, Boston et Philadelphie) ainsi qu’au Portugal (Holdmédia et Metro News).
En juin, Metro International a réussi à boucler une augmentation de capital de 48,7 millions d'euros (76,7 millions de dollars), dans l’optique de surmonter une période qualifiée par son pdg Per Mikael Jensen de «difficile».
Les éditions de journaux gratuits de Metro International sont distribués dans une centaine de villes du monde entier, dont Montréal.
Avec AFP.