En fait, un cadre peut rester neuf mois au chômage sans que cela ne soit considéré négativement par un employeur. Du moins si l'on en croit le sondage mené auprès d'une centaine de dirigeants d'entreprise d'un peu partout au Canada.
"Compte tenu de la période de turbulences économiques que nous traversons, la plupart des responsables du recrutement sont conscients que de nombreux candidats exceptionnels se trouvent sans emploi", dit David King, vice-président directeur, de Robert Half Management.
Cela dit, le mieux pour les candidats est de montrer que ces longs mois n'ont pas été perdus.
L'idéal est d'en profiter pour mener à bien un projet personnel, comme faire du bénévolat ou suivre des cours afin de parfaire ses compétences.