Les protestataires ont aussi suspendu une bannière.
Nicolas Mainville, coresponsable de la campagne Forêt boréale de Greenpeace, réclame une économie forestière responsable axée sur la conservation des forêts intactes et le respect du patrimoine forestier québécois.
Greenpeace vise le ministère des Ressources naturelles et de la Faune car c'est lui qui enclenche le processus d'exploitation des forêts.
Greenpeace se plaint que moins de 5 pour cent de la forêt boréale commerciale soit actuellement protégée.
Greenpeace occupe le bureau de Nathalie Normandeau
Publié le 27/07/2009 à 00:00
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