«Le savoir-faire de Gazprom nous permet de mener à bien des projets d’envergure dans cette région du monde. Nous pouvons y exploiter des gisements, y construire des gazoducs et y mener des opérations de prospection géologique», a indiqué M. Miller par voie de presse.
L’Arctique fait actuellement l’objet d’une lutte d’influence entre plusieurs pays, dont le Canada, la Russie et le Danemark. L’un des objectifs de chacun est de démarquer son territoire pour pouvoir ensuite exploiter les fonds marins, riches en ressources naturelles (pétrole, gaz, etc.).
Avec RIA Novosti.