Gestion des matières organiques et des boues des usines d’épuration : quelles solutions s’offrent aux municipalités?

Publié le 25/11/2020 à 00:01

Par Xebec

Pour les municipalités québécoises, atteindre les objectifs des directives gouvernementales concernant les matières organiques et les boues des usines d’épuration récupérées sur leur territoire tout en réduisant leur empreinte carbone représente un défi de taille. Parmi les solutions envisagées se trouvent celles offertes par Xebec, une entreprise innovante spécialisée en technologies propres, dont la valorisation du biogaz.

Rappelons que le gouvernement du Québec demande le recyclage ou la valorisation de 70 % de la matière organique visée en 2030 ainsi que la réduction de 270 000 tonnes d’équivalent CO2 par année des émissions de gaz à effet de serre (GES) d’ici 2030. Les municipalités font ainsi face à divers enjeux : traiter les matières en générant le moins possible de pollution, se conformer aux directives du gouvernement et réduire les coûts.

Les solutions envisagées

« Actuellement, beaucoup de boues et de matières organiques ne sont pas recyclées ou sont enfouies, ce qui contribue à émettre des gaz à effet de serre, explique Laurent Amram, ing., gestionnaire du développement des affaires chez Xebec. Dans les agglomérations de plus de 10 000 habitants, la biométhanisation devient alors une solution intéressante. »

En effet, pour répondre aux directives gouvernementales et se conformer à l’orientation du ministère du Développement durable, de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques concernant l’interdiction d’enfouir des matières organiques, les municipalités préconisent de plus en plus la mise en place de systèmes de valorisation du biogaz.

Pour elles, il s’agit d’une occasion en or de changer leur fusil d’épaule en constatant que ces changements sont une possibilité de générer des profits tout en étant écologiquement responsables. « En produisant du biogaz à partir de matières organiques, les municipalités peuvent maximiser leurs revenus tout en réduisant leur empreinte carbone », souligne Laurent Amram.

Des conséquences bénéfiques

Les procédés de valorisation des biogaz sont bénéfiques pour l’environnement à bien des égards. « Avec ces solutions, il y a beaucoup moins de méthane et de CO2 rejetés dans l’atmosphère. Rappelons que le méthane est un puissant gaz à effet de serre, encore plus que le CO2. Par contre, le biogaz purifié en biométhane, ou gaz naturel renouvelable (GNR), est une source d’énergie propre qui peut être utilisée pour produire de l’électricité ou de la chaleur, par exemple », illustre Laurent Amram.

Les solutions clés en main de Xebec

Avec une expertise de plus de 50 ans, Xebec propose des solutions innovantes pour convertir les biogaz en source d’énergie renouvelable. Son siège social et son usine sont situés à Blainville et elle jouit d’une forte présence en Amérique du Nord ainsi qu’en Europe. « Pour les municipalités du Québec, traiter avec un fournisseur d’ici constitue un avantage indéniable, car avec une entreprise de proximité, les suivis de la fabrication et le service après-vente sont facilités », soutient M. Amram.

Le gestionnaire du développement des affaires chez Xebec rappelle en outre que les solutions de son entreprise offrent un taux de récupération très élevé du méthane, ce qui maximise les revenus et améliore la rentabilité. Ses systèmes fiables, robustes et efficaces offrent une flexibilité supérieure en fonction des besoins de gestion et de production du GNR de ses clients.

« Nous sommes très fiers de contribuer à l’essor du Québec en matière de procédés de valorisation de biogaz. Nous invitons les intervenants intéressés à visiter notre site Web et, éventuellement, à découvrir les installations de notre usine à Blainville », conclut M. Amram.

Pour en savoir plus sur les solutions offertes par Xebec, visitez le xebecinc.com.

 

 

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