Bourse : New York casse, Toronto tient le coup

Publié le 16/08/2013 à 16:17, mis à jour le 16/08/2013 à 16:50

Bourse : New York casse, Toronto tient le coup

Publié le 16/08/2013 à 16:17, mis à jour le 16/08/2013 à 16:50

Par AFP

[Photo : Bloomberg]

Toronto a terminé la semaine sur une note positive, soutenue vendredi par le secteur de l’énergie. L’indice S&P/TSX a gagné 32 points (0,26%) pour clôturé à 12 736 points.

Wall Street a de nouveau terminé en baisse au lendemain de sa pire séance depuis juin, hésitant face à des indicateurs contrastés et à une forte remontée des taux d'intérêt: le Dow Jones a lâché 0,20% et le Nasdaq 0,09%.

Selon des chiffres définitifs, l'indice vedette Dow Jones Industrial Average a cédé 30,72 points à 15 081,47 points et le Nasdaq, à dominante technologique, 3,34 points à 3 602,78 points.

L'indice élargi Standard & Poor's 500 (SP 500) a perdu 0,33% ou 5,49 points à 1.655,83 points.

Les indices ont oscillé toute la journée autour de l'équilibre, les investisseurs tergiversant après la publication de plusieurs indicateurs contrastés, selon Peter Cardillo de Rockwell Global Capital.

Particulièrement scruté par les investisseurs, l'indice de confiance des consommateurs américains sur le moral des ménages a ainsi déçu en affichant un net recul en août selon une première estimation de l'Université du Michigan.

Dans le secteur de l'immobilier, les chiffres du jour sont ressortis mitigés.

Les mises en chantier de logements ont en effet nettement augmenté en juillet, de 5,9%, sans toutefois effacer leur recul du mois précédent. Indicateur des chantiers à venir, le nombre de permis de construire accordés en juillet par les autorités a lui aussi progressé (+2,7%) mais, là encore, sans effacer sa chute enregistrée en juin (-6,8%).

La productivité des entreprises américaines a de son côté nettement progressé au deuxième trimestre 2013 par rapport au trois mois précédents alors que les analystes s'attendaient à une productivité inchangée.

Face à ces informations mitigées, "le marché ont repris leur souffle, les volumes d'échanges sont bien plus bas qu'hier", a remarqué Art Hogan de Lazard Capital Markets. Jeudi, les indices avaient fortement reculé alors que les spéculations sur un ralentissement imminent des mesures de soutien de la banque centrale américaine étaient reparties de plus belle.

L'aide de l'institution passe notamment par l'acquisition chaque mois de 85 milliards de dollars de bons du Trésor et de titres hypothécaires, un geste destiné à injecter des liquidités sur le marché.

Dans l'anticipation d'une baisse des achats de bons du Trésor peut-être dès septembre, les investisseurs ont d'ailleurs fait grimper les taux d'intérêt sur les bons à 10 et 30 ans à leur plus haut niveau depuis l'été 2011. "Or une hausse de ces taux n'est jamais bonne pour le marché action et rend les investisseurs fébriles", selon M. Cardillo.

Le rendement du bon du Trésor à 10 ans a progressé à 2,829% contre 2,755% jeudi soir, et celui à 30 ans à 3,857% contre 3,792% la veille.

 

Toronto a terminé la semaine sur une note positive, soutenue vendredi par le secteur de l’énergie. L’indice S&P/TSX a gagné 32 points (0,26%) pour clôturé à 12 736 points.

Wall Street a de nouveau terminé en baisse au lendemain de sa pire séance depuis juin, hésitant face à des indicateurs contrastés et à une forte remontée des taux d'intérêt: le Dow Jones a lâché 0,20% et le Nasdaq 0,09%.

Selon des chiffres définitifs, l'indice vedette Dow Jones Industrial Average a cédé 30,72 points à 15 081,47 points et le Nasdaq, à dominante technologique, 3,34 points à 3 602,78 points.

L'indice élargi Standard & Poor's 500 (SP 500) a perdu 0,33% ou 5,49 points à 1.655,83 points.

Les indices ont oscillé toute la journée autour de l'équilibre, les investisseurs tergiversant après la publication de plusieurs indicateurs contrastés, selon Peter Cardillo de Rockwell Global Capital.

Particulièrement scruté par les investisseurs, l'indice de confiance des consommateurs américains sur le moral des ménages a ainsi déçu en affichant un net recul en août selon une première estimation de l'Université du Michigan.

Dans le secteur de l'immobilier, les chiffres du jour sont ressortis mitigés.

Les mises en chantier de logements ont en effet nettement augmenté en juillet, de 5,9%, sans toutefois effacer leur recul du mois précédent. Indicateur des chantiers à venir, le nombre de permis de construire accordés en juillet par les autorités a lui aussi progressé (+2,7%) mais, là encore, sans effacer sa chute enregistrée en juin (-6,8%).

La productivité des entreprises américaines a de son côté nettement progressé au deuxième trimestre 2013 par rapport au trois mois précédents alors que les analystes s'attendaient à une productivité inchangée.

Face à ces informations mitigées, "le marché ont repris leur souffle, les volumes d'échanges sont bien plus bas qu'hier", a remarqué Art Hogan de Lazard Capital Markets. Jeudi, les indices avaient fortement reculé alors que les spéculations sur un ralentissement imminent des mesures de soutien de la banque centrale américaine étaient reparties de plus belle.

L'aide de l'institution passe notamment par l'acquisition chaque mois de 85 milliards de dollars de bons du Trésor et de titres hypothécaires, un geste destiné à injecter des liquidités sur le marché.

Dans l'anticipation d'une baisse des achats de bons du Trésor peut-être dès septembre, les investisseurs ont d'ailleurs fait grimper les taux d'intérêt sur les bons à 10 et 30 ans à leur plus haut niveau depuis l'été 2011. "Or une hausse de ces taux n'est jamais bonne pour le marché action et rend les investisseurs fébriles", selon M. Cardillo.

Le rendement du bon du Trésor à 10 ans a progressé à 2,829% contre 2,755% jeudi soir, et celui à 30 ans à 3,857% contre 3,792% la veille.

 

Toronto a terminé la semaine sur une note positive, soutenue vendredi par le secteur de l’énergie. L’indice S&P/TSX a gagné 32 points (0,26%) pour clôturé à 12 736 points.

Wall Street a de nouveau terminé en baisse au lendemain de sa pire séance depuis juin, hésitant face à des indicateurs contrastés et à une forte remontée des taux d'intérêt: le Dow Jones a lâché 0,20% et le Nasdaq 0,09%.

Selon des chiffres définitifs, l'indice vedette Dow Jones Industrial Average a cédé 30,72 points à 15 081,47 points et le Nasdaq, à dominante technologique, 3,34 points à 3 602,78 points.

L'indice élargi Standard & Poor's 500 (SP 500) a perdu 0,33% ou 5,49 points à 1.655,83 points.

Les indices ont oscillé toute la journée autour de l'équilibre, les investisseurs tergiversant après la publication de plusieurs indicateurs contrastés, selon Peter Cardillo de Rockwell Global Capital.

Particulièrement scruté par les investisseurs, l'indice de confiance des consommateurs américains sur le moral des ménages a ainsi déçu en affichant un net recul en août selon une première estimation de l'Université du Michigan.

Dans le secteur de l'immobilier, les chiffres du jour sont ressortis mitigés.

Les mises en chantier de logements ont en effet nettement augmenté en juillet, de 5,9%, sans toutefois effacer leur recul du mois précédent. Indicateur des chantiers à venir, le nombre de permis de construire accordés en juillet par les autorités a lui aussi progressé (+2,7%) mais, là encore, sans effacer sa chute enregistrée en juin (-6,8%).

La productivité des entreprises américaines a de son côté nettement progressé au deuxième trimestre 2013 par rapport au trois mois précédents alors que les analystes s'attendaient à une productivité inchangée.

Face à ces informations mitigées, "le marché ont repris leur souffle, les volumes d'échanges sont bien plus bas qu'hier", a remarqué Art Hogan de Lazard Capital Markets. Jeudi, les indices avaient fortement reculé alors que les spéculations sur un ralentissement imminent des mesures de soutien de la banque centrale américaine étaient reparties de plus belle.

L'aide de l'institution passe notamment par l'acquisition chaque mois de 85 milliards de dollars de bons du Trésor et de titres hypothécaires, un geste destiné à injecter des liquidités sur le marché.

Dans l'anticipation d'une baisse des achats de bons du Trésor peut-être dès septembre, les investisseurs ont d'ailleurs fait grimper les taux d'intérêt sur les bons à 10 et 30 ans à leur plus haut niveau depuis l'été 2011. "Or une hausse de ces taux n'est jamais bonne pour le marché action et rend les investisseurs fébriles", selon M. Cardillo.

Le rendement du bon du Trésor à 10 ans a progressé à 2,829% contre 2,755% jeudi soir, et celui à 30 ans à 3,857% contre 3,792% la veille.

 

Toronto a terminé la semaine sur une note positive, soutenue vendredi par le secteur de l’énergie. L’indice S&P/TSX a gagné 32 points (0,26%) pour clôturé à 12 736 points.

Wall Street a de nouveau terminé en baisse au lendemain de sa pire séance depuis juin, hésitant face à des indicateurs contrastés et à une forte remontée des taux d'intérêt: le Dow Jones a lâché 0,20% et le Nasdaq 0,09%.

Selon des chiffres définitifs, l'indice vedette Dow Jones Industrial Average a cédé 30,72 points à 15 081,47 points et le Nasdaq, à dominante technologique, 3,34 points à 3 602,78 points.

L'indice élargi Standard & Poor's 500 (SP 500) a perdu 0,33% ou 5,49 points à 1.655,83 points.

Les indices ont oscillé toute la journée autour de l'équilibre, les investisseurs tergiversant après la publication de plusieurs indicateurs contrastés, selon Peter Cardillo de Rockwell Global Capital.

Particulièrement scruté par les investisseurs, l'indice de confiance des consommateurs américains sur le moral des ménages a ainsi déçu en affichant un net recul en août selon une première estimation de l'Université du Michigan.

Dans le secteur de l'immobilier, les chiffres du jour sont ressortis mitigés.

Les mises en chantier de logements ont en effet nettement augmenté en juillet, de 5,9%, sans toutefois effacer leur recul du mois précédent. Indicateur des chantiers à venir, le nombre de permis de construire accordés en juillet par les autorités a lui aussi progressé (+2,7%) mais, là encore, sans effacer sa chute enregistrée en juin (-6,8%).

La productivité des entreprises américaines a de son côté nettement progressé au deuxième trimestre 2013 par rapport au trois mois précédents alors que les analystes s'attendaient à une productivité inchangée.

Face à ces informations mitigées, "le marché ont repris leur souffle, les volumes d'échanges sont bien plus bas qu'hier", a remarqué Art Hogan de Lazard Capital Markets. Jeudi, les indices avaient fortement reculé alors que les spéculations sur un ralentissement imminent des mesures de soutien de la banque centrale américaine étaient reparties de plus belle.

L'aide de l'institution passe notamment par l'acquisition chaque mois de 85 milliards de dollars de bons du Trésor et de titres hypothécaires, un geste destiné à injecter des liquidités sur le marché.

Dans l'anticipation d'une baisse des achats de bons du Trésor peut-être dès septembre, les investisseurs ont d'ailleurs fait grimper les taux d'intérêt sur les bons à 10 et 30 ans à leur plus haut niveau depuis l'été 2011. "Or une hausse de ces taux n'est jamais bonne pour le marché action et rend les investisseurs fébriles", selon M. Cardillo.

Le rendement du bon du Trésor à 10 ans a progressé à 2,829% contre 2,755% jeudi soir, et celui à 30 ans à 3,857% contre 3,792% la veille.

 

Toronto a terminé la semaine sur une note positive, soutenue vendredi par le secteur de l’énergie. L’indice S&P/TSX a gagné 32 points (0,26%) pour clôturé à 12 736 points.

Wall Street a de nouveau terminé en baisse au lendemain de sa pire séance depuis juin, hésitant face à des indicateurs contrastés et à une forte remontée des taux d'intérêt: le Dow Jones a lâché 0,20% et le Nasdaq 0,09%.

Selon des chiffres définitifs, l'indice vedette Dow Jones Industrial Average a cédé 30,72 points à 15 081,47 points et le Nasdaq, à dominante technologique, 3,34 points à 3 602,78 points.

L'indice élargi Standard & Poor's 500 (SP 500) a perdu 0,33% ou 5,49 points à 1.655,83 points.

Les indices ont oscillé toute la journée autour de l'équilibre, les investisseurs tergiversant après la publication de plusieurs indicateurs contrastés, selon Peter Cardillo de Rockwell Global Capital.

Particulièrement scruté par les investisseurs, l'indice de confiance des consommateurs américains sur le moral des ménages a ainsi déçu en affichant un net recul en août selon une première estimation de l'Université du Michigan.

Dans le secteur de l'immobilier, les chiffres du jour sont ressortis mitigés.

Les mises en chantier de logements ont en effet nettement augmenté en juillet, de 5,9%, sans toutefois effacer leur recul du mois précédent. Indicateur des chantiers à venir, le nombre de permis de construire accordés en juillet par les autorités a lui aussi progressé (+2,7%) mais, là encore, sans effacer sa chute enregistrée en juin (-6,8%).

La productivité des entreprises américaines a de son côté nettement progressé au deuxième trimestre 2013 par rapport au trois mois précédents alors que les analystes s'attendaient à une productivité inchangée.

Face à ces informations mitigées, "le marché ont repris leur souffle, les volumes d'échanges sont bien plus bas qu'hier", a remarqué Art Hogan de Lazard Capital Markets. Jeudi, les indices avaient fortement reculé alors que les spéculations sur un ralentissement imminent des mesures de soutien de la banque centrale américaine étaient reparties de plus belle.

L'aide de l'institution passe notamment par l'acquisition chaque mois de 85 milliards de dollars de bons du Trésor et de titres hypothécaires, un geste destiné à injecter des liquidités sur le marché.

Dans l'anticipation d'une baisse des achats de bons du Trésor peut-être dès septembre, les investisseurs ont d'ailleurs fait grimper les taux d'intérêt sur les bons à 10 et 30 ans à leur plus haut niveau depuis l'été 2011. "Or une hausse de ces taux n'est jamais bonne pour le marché action et rend les investisseurs fébriles", selon M. Cardillo.

Le rendement du bon du Trésor à 10 ans a progressé à 2,829% contre 2,755% jeudi soir, et celui à 30 ans à 3,857% contre 3,792% la veille.

 

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