Photo Bloomberg.
Page 2: La fée des dents québécoise est la plus riche
1. Le logo d’Adidas pourrait se retrouver sur le chandail des Canadiens de Montréal. Adidas a remporté un contrat publicitaire avec la Ligue nationale de hockey (LNH), rapporte TSN. L’offre commencerait au cours de la saison 2017-2018, selon trois sources citées par la chaîne sportive. L’ancienne entente signée avec Reebok rapportait 35 M$ par année. On parlerait maintenant du double, selon la source.
2. Les électeurs attendent-ils la fin de l’été avant de faire leurs choix? Les appuis aux trois principaux partis stagnent et personne ne semble prendre les devants, selon un sondage Nanos diffusé par le Globe and Mail. Les conservateurs sont en avance, contrairement à un sondage du journal Le Devoir qui les plaçait au troisième rang. Le parti de Stephen Harper remporte 31,8% des appuis. Suit le NPD à 29% et les libéraux à 28,7%. Le portrait est très inégal d’une région à l’autre. Les conservateurs jouissent d’une forte avance en Ontario. Les libéraux dominent dans les provinces de l’Atlantique. Le NPD est fort en Colombie-Britannique et au Québec, quoique les libéraux semblent remonter dans la belle province.
3. Wall Street se dirige en légère baisse tandis que les investisseurs attendent un nouveau catalyseur. La prudence est également de mise avant la publication des minutes de la Réserve fédérale (Fed), mercredi. Le S&P 500 retraite de 0,18% sur le marché hors cote après l’ouverture. Le Dow Jones régresse de 0,17% et le Nasdaq recule de 0,22%.
4. Uber se dit prêt à verser une taxe spéciale au gouvernement du Québec afin de faciliter la légalisation de son service de transport, qui concurrence l’industrie du taxi. L’entreprise évoque un montant de 0,10$ par voyagement. L’entreprise californienne propose également de remettre les informations fiscales sur les revenus tirés par ses chauffeurs, rapporte La Presse.
5. Que ce soit sur la situation fiscale de la Grèce, la débâcle des marchés en Chine, la dépréciation du pétrole ou la montée des taux par la Réserve fédérale, David Kostin, stratège de Goldman Sachs, est habitué à ce que ses clients lui posent des questions sur les manchettes du jour. Il a cependant été surpris d’entendre ce qui préoccupait l’un de ses clients dernièrement. «L’économie américaine entrera-t-elle en récession en 2016? », lui a-t-on demandé. «Une contraction économique n’est définitivement pas dans nos prévisions, répond-il dans une note. Même si la reprise dure depuis un certain temps, nous sommes encore entre le début et le milieu du cycle en raison du rythme plus lent de la reprise ».
