Gérald Tremblay a répété qu'il fallait arrêter cette guerre de clochers et qu'il était temps de s'asseoir et de discuter de la question, comme l'avait suggéré la veille le premier ministre Jean Charest.
Par ailleurs, M. Tremblay s'est dit confiant de pouvoir arriver à des solutions gagnantes pour l'ensemble des intervenants, non seulement à Québec, mais aussi à Montréal, où les organisateurs de la Fête nationale et du festival Présence autochtone ont également décrié avec force le déplacement des FrancoFolies.