La chasse aux acquisitions à temps plein
C’est plutôt le fait que M. Bouchard demeurera un président du conseil exécutif et actif, et qu’il consacrera presque tout son temps au démarchage de futures acquisitions, qui plaît le plus aux analystes dont Perry Caicco, de Marchés mondiaux CIBC.
« Une acquisition de taille doit faire surface pour que le titre puisse soutenir son évaluation boursière actuelle », indique aussi David Hartley, analyste de Credit Suisse.
La croissance de 8,5 % des bénéfices qu’il prévoit en 2016 est un peu mince pour justifier un multiple d’évaluation de 19 fois les bénéfices prévus dans 12 mois, dit-il.
M. Bouchard reste aussi l’actionnaire de contrôle. Ses intérêts restent donc alignés avec ceux des autres actionnaires, note aussi Keith Howlett, de Marchés des capitaux Desjardins.
Voici ce qu’avaient à dire les analystes au lendemain du dévoilement de son successeur.
Des cours-cible jusqu'à 105 $