Déléguer à une grosse boîte, à une petite boîte ou à un pigiste ?

Publié le 14/04/2011 à 00:00

Déléguer à une grosse boîte, à une petite boîte ou à un pigiste ?

Publié le 14/04/2011 à 00:00

Par Marie-Eve Fournier

La grosse boîte :

Dollarama a embauché National au moment de son entrée en Bourse, en 2008. Pendant 16 ans, le détaillant n’avait tout simplement pas fait de relations publiques. « L’entreprise mettait l’emphase sur sa croissance et ses opérations, ce n’est pas une question d’aimer le public et les médias. Mais tout ce qui n’est pas nécessaire et rattaché aux opérations, on ne se distrait pas avec ça », explique Michael Ross, vice-président finances.

Aujourd’hui, tout ce qui touche aux communications est délégué au célèbre cabinet qui compte 300 employés dans ses divers bureaux à travers le Canada, dont 90 à Montréal. Dollarama affirme avoir choisi National parce que c’est une firme « réputée » qui lui donne accès « à plusieurs professionnels tant généraux que spécifiques. »

HBC (La Baie, Zellers, Déco Découverte) utilise aussi les services d’un grand cabinet, en l’occurrence Edelman, qui compte 3600 employés œuvrant dans une cinquantaine de bureaux dans le monde. Ce sont les employés torontois de cette firme qui agissent à titre de porte-parole pour l’important détaillant.

Mais il n’est pas nécessaire d’être un géant dans son secteur pour se payer les services d’un grand cabinet, assure Serge Paquette, associé directeur chez National. Dans ce grand cabinet, le taux horaire moyen est passé à 175 $ grâce à l’embauche de plusieurs jeunes qui travaillent de pair avec des employés plus expérimentés. Les seniors réclament 400 $ de l’heure.

Selon Guy Versailles, porte-parole de la Société québécoise des professionnels en relations publiques (SQPRP), les gros cabinets sont particulièrement utiles « quand tu as de gros problèmes qui requièrent de gros moyens ».

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