Dans cet environnement plus turbulent, deux banques semblent offrir de meilleures perspectives de placement aux investisseurs patients qui sauront être opportunistes.
La Banque Royale (Tor., RY, 79,67 $) a plus de leviers à sa disposition que ses rivales pour contrer le plafonnement des revenus, croit Sumit Malhotra, de Banque Scotia.
«Sa grande taille lui procure plus de flexibilité pour apparier ses coûts à des revenus moins robustes», dit aussi Doug Young, de Desjardins Marché des capitaux.
La banque se dit d'ailleurs suffisamment diversifiée pour faire croître ses bénéfices de 7 % par année. Déjà très forte en gestion du patrimoine, la banque se prépare depuis longtemps à ce que les produits d'épargne et d'investissement remplacent les prêts comme moteur de croissance.