On peut aller plus loin en précisant ce que ces activités sociales ne sont pas, à savoir :
> Elles n'ont pas une portée nationale ou internationale.
> Elles ne correspondent pas à une simple participation symbolique ou financière à une grande cause.
> Elles ne visent pas des objectifs à long terme.
Et c'est là tout le sel de cette étude, d'après moi. Car on y décèle ce qui fait qu'une personne va tripper dans son travail, ou pas. En effet, regardez bien ce que ça donne si on applique tout cela à notre quotidien au bureau…
Quelqu'un va ressentir un plus haut niveau de satisfaction dans son travail si :
> Ses responsabilités sont en lien avec ses principaux centres d'intérêt. Ou à tout le moins l'un d'entre eux.
> Ses objectifs sont clairs, concrets et à court ou moyen terme. C'est-à-dire s'il a moyen de ressentir les effets positifs chaque fois qu'une étape importante est franchie.
> Sa mission a des répercussions locales. C'est-à-dire s'il est en mesure de ressentir directement les effets positifs de l'atteinte des objectifs fixés.
Voilà. Maintenant, c'est à vous de jouer. Vous avez désormais le moyen d'être plus heureux dans votre quotidien au travail. Et même, de rendre vos collègues plus heureux, si vous dirigez une équipe. Alors, à quoi bon attendre?
En passant, l'écrivain russe Léon Tolstoï disait : «Si vous voulez être heureux, soyez-le!»
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