Telus – cours-cible 70 $
Le deuxième fournisseur de services de télécommunications au pays offre les meilleures perspectives de croissance parmi toutes les grandes sociétés de téléphonie et de câble, fait valoir Tim Casey.
Grâce à son nouveau réseau sans-fil plus performant et à son nouveau service filaire de télévision, Telus accroîtra son bénéfice d’exploitation de 5 à 7 % au cours des deux prochaines années, prévoit l’analyste.
Son dividende procure un rendement de 3,9 %. La société s’est engagée à l’augmenter de 10 % annuellement.
Groupe TMX – cours-cible 60 $
Le propriétaire de la Bourse de Toronto, de la bourse alternative Alpha et de la chambre de compensation CDS bénéficiera en 2014 de son intégration verticale.
John Reucassel prévoit une hausse de 23 % de ses bénéfices en 2014, malgré la baisse des volumes de transactions et d’inscription à la Bourse de Toronto.
TMX domine ses marchés, ce qui lui confère des marges d’exploitation élevées de 45 à 50 %.
Ses importants flux de trésorerie lui donnent aussi les moyens de réduire sa dette, d’augmenter son dividende et de réaliser d’autres acquisitions, au cours des prochaines années.
TransCanada Corp. – cours-cible 52 $
Le principal exploitant d’oléoducs au pays a 13 milliards de projets en chantier d’ici 2015, qui lui fourniront 4,5 milliards de flux de trésorerie, estime Carl Kirst.
L’approbation finale de l’oléoduc américain Keystone en janvier pourrait redonner une poussée au titre de TransCanada, tout comme l’avancement du projet pour convertir son principal oléoduc en gazoduc.
TransCanada a aussi identifié 8,6 milliards de projets, qui pourraient voir le jour après 2016.
En 2013, le titre pourrait rebondir au fur et à mesure que la controverse entourant tous ses projets diminue et ainsi raffermit la confiance des investisseurs dans la trajectoire de ses bénéfices, à long terme.
La nouvelle entreprise, qui sera rebaptisée Groupe TMX Limited le mois prochain, contrôlera à la fois le marché boursier de Toronto que la plateforme alternative Alpha et la plus grande
BLOGUE. C’est au tour du courtier BMO Marchés des capitaux de dévoiler ses 15 titres favoris pour 2013, parmi les sociétés canadiennes à grande capitalisation.
Diffusée depuis janvier 2002, cette liste des meilleures idées des analystes de diverses industries a battu le rendement de l’indice S&P/TSX 60 de 1,7 % par année an moyenne, depuis cette date.
Le « Top 15 » a procuré un rendement annuel composé de 8,6 % depuis janvier 2002, par rapport au rendement de 6,91 % du S&P/TSX 60.
Les 15 titres se négocient à un multiple moyen de 14,6 fois les bénéfices prévus en 2013, un ratio d’évaluation qui se compare à la médiane à long terme de 16,3 fois pour l’indice plus généraliste S&P/TSX.
Tous les titres versent un dividende, dont treize procurent un rendement de plus de 2 %.
Les voici :
Aimia (AIM) Brookfield Asset Management (BAM)
Cenovus Energy (CVE) Banque CIBC (CM)
Cineplex (CGX) Finning (FTT)
Goldcorp (GG) Magna (MGA)
Banque Scotia (BNS) Shoppers Drug Mart (SV)
Banque T-D (TD) Teck Resources (TCK.B)
Telus (T) Groupe TMX (X) TransCanada (TRP)
Aimia – cours-cible 16,40 $
Le spécialiste des programmes de fidélité dont Aeroplan offre de bonnes perspectives de croissance à long terme, malgré l’accumulation moins rapide de points chez Air Canada, estime Tim Casey.
L’analyste prévoit une hausse modeste et régulière du bénéfice d’exploitation pour les deux prochaines années.
La société dégage de bons flux de trésorerie, verse un dividende attrayant (4,3 %) appelé à croître et se négocie à bon prix.
L’achat récent d’un intérêt additionnel de 20 % dans Club Premier, ainsi qu’un investissement initial dans le programme de points chinois China Rewards montrent que la société a plusieurs avenues de croissance devant elle.
Brookfield Asset Management – cours-cible 40 $
La société de portefeuille qui investit surtout dans l’immobilier et la génération d’electricité ne cesse de gagner en envergure, avec une série d’acquisitions aux Etats-Unis, à Londres et au Brésil, au cours des derniers mois.
Plusieurs de ses investissements devraient aussi profiter de la reprise du marché résidentiel américain entre autres.
Brookfield pourrait donc vendre certains placements pour réinvestir son capital dans des industries à plus fort potentiel, notamment dans les infrastructures, fait valoir Bert Powell. Il prévoit une hausse de 19,6 % de ses flux de trésorerie entre 2013 et 2014.
Cenovus Energy – cours-cible 46 $
Le producteur integré de pétrole et de gaz naturel, essaimé par Encana en 2009, mérite une evaluation supérieure à son industrie.
La production de ses sables bitumineux croît de façon prévisible et degage de bonnes marges, indique Randy Ollenberger. La société est aussi un excellent opérateur comme en témoigne l’entrée en service de la phase 5 du projet Christina Lake avec plusieurs mois d’avance.
En 2013, son plan de dépenses flexible lui permet de s’adapter aux prix du pétrole et du gaz.
Une réduction de sa dette devrait lui permettre de hausser son dividende de 10 % l’an prochain.
CIBC – cours-cible 84 $
La Banque CIBC s’améliore là où ça compte, estime John Reucassel.
La banque repositionne bien les services aux particuliers de ses succursales canadiennes. Elle a aussi renforcé son capital de base pour rencontrer les nouvelles normes de Bâle III.
Parmi les banques, c’est un bon titre offrant à la fois un dividende élevé et un faible risque d’affaires. La banque rachète aussi plus activement ses actions.
Cineplex – cours-cible 34 $
L’exploitant des cinemas du même nom mérite une évaluation supérieure dans l’industrie des médias.
La société domine son industrie après l’achat des quatre cinémas d’AMC en juillet pour 1 $.
Cet achat lui procure aussi des pertes fiscales reportées de 146 millions de dollars qu’elle pourra déduire de ses bénéfices futurs.
Cineplex a complété la numérisation de tous ses cinémas et 36 % de ses écrans peuvent projet des films en 3D.
Au quatrième trimestre, Cineplex devrait profiter des recettes des films à succès Skyfall, The Hobbitt, Twilight Saga et Life of Pi.
Son programme de loyauté Scene compte 4,1 millions de membres
Finning – cours-cible 31 $
Le principal distributeur d’équipements Caterpillar au monde, Finning profite de plus en plus des revenus que lui procure l’entretient des équipements vendus pendant le boom minier et de la construction, notamment en Amérique du Sud.
Ses revenus récurrents font contrepoids au ralentissement dans la vente d’équipements neufs, et assureront la croissance de 10 % de ses bénéfices en 2013 et 2014, explique Bert Powell.
Son titre s’échange à un multiple de moins de 10 fois les bénéfices prévus en 2013, en raison des les inquiétudes concernant la cadence de l’économie mondiale, par rapport à une moyenne à long terme de 15 fois.
Goldcorp – cours-cible 62,50 $ US
Le deuxième producteur d’or en Amérique du Nord en valeur boursière a plusieurs mines en chantier au Québec, en République dominicaine, en Ontario et en Argentine.
David Haughton en fait donc son choix de croissance parmi les producteurs. LA hausse prevue de 70 % de sa production d’ici 2016 s’appuie sur des projets de grande qualité.
Ses coûts de production de 625 à 650 $ US l’once, se comparent au prix de l’or de 1 697 $ US l’once.
Magna International – cours-cible 55 $
Le fabricant mondial de pieces automobiles devrait connaître une hausse de son évaluation en Bourse.
Magna ayant réussi à redresser la rentabilité de ses usines européennes, son titre devrait refléter l’amélioration de sa gouvernance, depuis le départ de son fondateur controversé Frank Stronach, note Peter Sklar.
L’analyste prévoit un rebond de 17 % de son benefice à 5,90 $ US par action en 2014.
L’entreprise dispose d’un milliard de dollars américains dans ses coffres pour investir dans ses usines et réaliser des acquisitions.
Banque Scotia – cours-cible 61 $
La plus internationale des banques canadiennes a plusieurs leviers de croissance à exploiter, dit John Reucassel.
Au Canada, l’institution vient de mettre la main sur ING Canada, et ses 1,8 millions de déposants, à qui elle pourra offrir ses produits de placement.
Elle poursuit ses acquisitions à l’international où la hausse de la demande pour les prêts nourrit une croissance supérieure à celle de ses activités canadiennes.
La Banque Scotia accroît aussi sans cesse l’actif, les revenus et la rentabilité de sa gestion de patrimoine grâce aux affaires générées par son réseau international de succursales.
Shoppers Drug Mart – cours-cible 48 $
Le titre du pharmacien a rarement été aussi bon marché par rapport à son évaluation historique, note Peter Sklar, alors que le frein sur sa croissance provoquée par la réforme des médicaments s’estompera.
D’ici 12 mois, les investisseurs réaliseront que la croissance de ses bénéfices regagne en vigueur, dit-il.
M. Sklar prévoit un rebond de 10 % du bénéfice à 3,26 $ par action en 2014, après trois ans de benefices stables.
Shoppers continue aussi d’acquérir de petites pharmacies indépendantes pour alimenter sa croissance.
Banque T-D – cours-cible 92 $
À court terme, les rumeurs persistantes que la Banque T-D puisse acquérir la banque régionale américaine Citizens, dont la valeur est estimée à 12,8 milliards de dollars américains, pèse sur le cours de son action en Bourse.
Une transaction de cette taille, que M. Reucassel juge peu probable, exigerait une importante émission d’actions.
La Banque T-D s’échange donc à un multiple similaire à son industrie, alors que’elle mérite une evaluation supérieure pour la croissance plus élevée de son dividende et pour la valeur solide de ses filiales TD Canada Trust, TD USA, TD Asset Management et TD Ameritrade.
Teck Resources – cours-cible 40 $
Le producteur de charbon, de cuivre et de zinc a enfin tourné la page sur l’achat du producteur de charbon Fording en 2008, en rachetant la dernière tranche des obligations de pacotille émises pour financer la transaction.
La hausse récente de 12,5 % de son dividende indique que le producteur degage de bons flux de trésorerie malgré les prix volatils du cuivre et du charbon.
Une hausse prévue des expéditions de charbon métallurgique et de cuivre en 2013 feront rebondir ses bénéfices de 32 % à 3,47 $ par action en 2013, prévoit Meredith Bandy.
Telus – cours-cible 70 $
Le deuxième fournisseur de services de télécommunications au pays offre les meilleures perspectives de croissance parmi toutes les grandes sociétés de téléphonie et de câble, fait valoir Tim Casey.
Grâce à son nouveau réseau sans-fil plus performant et à son nouveau service filaire de télévision, Telus accroîtra son bénéfice d’exploitation de 5 à 7 % au cours des deux prochaines années, prévoit l’analyste.
Son dividende procure un rendement de 3,9 %. La société s’est engagée à l’augmenter de 10 % annuellement.
Groupe TMX – cours-cible 60 $
Le propriétaire de la Bourse de Toronto, de la bourse alternative Alpha et de la chambre de compensation CDS bénéficiera en 2014 de son intégration verticale.
John Reucassel prévoit une hausse de 23 % de ses bénéfices en 2014, malgré la baisse des volumes de transactions et d’inscription à la Bourse de Toronto.
TMX domine ses marchés, ce qui lui confère des marges d’exploitation élevées de 45 à 50 %.
Ses importants flux de trésorerie lui donnent aussi les moyens de réduire sa dette, d’augmenter son dividende et de réaliser d’autres acquisitions, au cours des prochaines années.
TransCanada Corp. – cours-cible 52 $
Le principal exploitant d’oléoducs au pays et producteur indépendent d’électricité a 13 milliards de projets en chantier d’ici 2015, qui lui fourniront 4,5 milliards de flux de trésorerie, estime Carl Kirst.
L’approbation finale de l’oléoduc américain Keystone en janvier pourrait aussi redonner une poussée au titre de TransCanada, tout comme l’avancement du projet pour convertir son principal oléoduc en gazoduc.
TransCanada a aussi identifié 8,6 milliards de projets, qui pourraient voir le jour après 2016.
En 2013, le titre pourrait rebondir au fur et à mesure que la controverse entourant tous ses projets diminue et ainsi raffermir la confiance des investisseurs dans la trajectoire de ses benefices, à long terme.
La nouvelle entreprise, qui sera rebaptisée Groupe TMX Limited le mois prochain, contrôlera à la fois le marché boursier de Toronto que la plateforme alternative Alpha et la plus grande
