Une vente fort probable
Les intentions exactes de M. Rosenfeld sont encore nébuleuses concernant Com Dev puisque la société n’a pas d’énormes liquidités à son bilan à distribuer.
De plus, son titre s’échange déjà à un multiple similaire à celui de ses semblables.
Rejoint à ses bureaux de New York, M. Rosenfeld se contente de répéter qu’il cherche avant tout à créer de la valeur pour tous les actionnaires et qu’il conserve ses actions en moyenne près de trois ans. « Nos représentants s’activeront à cette tâche dès qu’ils le pourront », a-t-il dit.
Com Dev dégage toutefois des flux de trésorerie excédentaires et dispose aussi d’un crédit bancaire inutilisé de 20 millions de dollars.
Depuis 2010, Com Dev se remet lentement d’une période d’éparpillement qui a entraîné des pertes jusqu’en 2011. Son action a déjà doublé depuis avril 2012, grâce à de meilleurs résultats et davantage de contrats.
Les analystes spéculent déjà sur la vente potentielle de la société en entier ou la cession de divisions.
Même Technologies 20-20 et Forzani ont été vendues